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24 mars 2025 1 24 /03 /mars /2025 12:40
Trump, idole des Russes...

 

En Russie, Donald Trump est plus populaire que jamais. Les médias officiels chantent même ses louanges. Cependant, certains Russes restent prudents car ils ne gardent pas forcément un bon souvenir du premier mandat de l’actuel président américain.


Depuis une semaine, le président américain, Donald Trump, a fait son grand retour dans les magasins de souvenirs de Moscou, en Russie.

"On a aussi un souvenir avec Melania" dit une vendeuse.

"Il y avait un pour Biden ?" interroge une journaliste. "Il n'y en avait pas pour Biden", répond la vendeuse...

"Il est associé à quoi, Trump?"  demande encore la journaliste. Réponse : "A la fin de la guerre..."

“C’est un homme bien ! Un vrai ! Presque un Russe”, s'enthousiasme un Moscovite croisé dans la rue. Donald Trump vole presque la vedette à Vladimir Poutine !

 Sur les écrans, le président américain n’est plus présenté comme le chef des adversaires occidentaux. Selon des journalistes proches du Kremlin, il a même brisé le front occidental.

“Je prendrai plaisir à regarder Trump faire la guerre à l’Europe. Ça va finir par la sécession du Groenland, la dissolution de l’OTAN et la chute de l’Union européenne”, explique un commentateur à la télévision russe.

Carrément !


Au Kremlin comme sur les plateaux télévisés, la prudence reste de mise. “Ça me plaît énormément ce que fait Donald Trump jusqu’à présent. Il met la pression sur Kiev et on comprend quand même que bientôt il va essayer de mettre la pression sur Moscou”, analyse une autre commentatrice à la télévision.

Même prudence devant un mémorial dédié aux soldats russes morts en Ukraine. Pourtant, tous affirment vouloir la paix.

"Vous n'êtes pas séduits par Trump ?" interroge une journaliste.

"Non, peut-être qu'on a perdu confiance avec l'Amérique. Un jour, on est amis et puis l'autre, non." déclare une Russe.

Pour le moment, aucun accroc n'est venu vraiment contrarier les relations entre les deux présidents.

Ces derniers jours, Donald Trump a encore confirmé son penchant pour la Russie...

Alexandre Orlov, ancien ambassadeur de Russie en France dit ceci : "Trump, Musk ont réussi leur vie dans l'économie, ce sont des gens avec une approche tout à fait différente de la politique. Trump veut être constructif, pragmatique, développer la coopération et puis, surtout Trump a fait revenir aux Etats-Unis les valeurs traditionnelles qui sont les nôtres, il y a une base pour se comprendre entre Poutine et Trump très très large..."

 

Cette "idylle" entre les deux présidents va-t-elle durer ? Rien n'est moins sûr : les négociations à venir s'annoncent difficiles...

A Gaza, les bombardements ont repris et s'intensifient : la paix envisagée est encore bien loin, hélas. 

 


Sources :
 

https://www.francetvinfo.fr/monde/usa/presidentielle/donald-trump/donald-trump-le-president-americain-est-la-nouvelle-star-a-moscou_7124820.html

 

https://youtu.be/CmUSSWgpx5A?si=K8U9XlW2p4fTacS4

 

https://www.lepoint.fr/monde/poutine-n-est-pas-un-mauvais-type-pour-l-emissaire-americain-steve-witkoff-23-03-2025-2585440_24.php

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commentaires

C
Le Kremlin a publié une déclaration suite à des consultations avec les États-Unis à Riyad.<br /> <br /> 📍Conformément à l'accord entre les présidents russe et américain, les parties russe et américaine ont convenu d'assurer la mise en œuvre de l'« Initiative de la mer Noire », qui comprend la garantie de la sécurité de la navigation en mer Noire, le non-recours à la force et la prévention de l'utilisation de navires commerciaux à des fins militaires, tout en organisant des mesures de contrôle appropriées par l'inspection de ces navires.<br /> <br /> 📍Les États-Unis contribueront à rétablir l'accès des exportations russes de produits agricoles et d'engrais au marché mondial, à réduire le coût de l'assurance maritime et à élargir l'accès aux ports et aux systèmes de paiement pour effectuer ces transactions.<br /> <br /> Remarque :<br /> Les paragraphes 1 et 2 entreront en vigueur après :<br /> <br /> – la levée des sanctions imposées à la Rosselkhozbank et aux autres organismes financiers participant aux opérations de commerce international de produits alimentaires (y compris les produits de la pêche) et d'engrais, leur connexion à SWIFT et l'ouverture des comptes correspondants nécessaires ;<br /> <br /> – Suppression des restrictions à la mise en œuvre des transactions de financement commercial ;<br /> <br /> – Levée des sanctions pesant sur les entreprises produisant et exportant des denrées alimentaires (y compris des produits de la pêche) et des engrais, ainsi que sur les activités des compagnies d'assurance transportant des marchandises de denrées alimentaires (y compris des produits de la pêche) et des engrais ;<br /> <br /> – Levée des restrictions à l'entretien des navires dans les ports et des sanctions contre les navires battant pavillon russe impliqués dans le commerce de denrées alimentaires (y compris des produits de la pêche) et d'engrais ;<br /> <br /> – Levée des restrictions à la fourniture de machines agricoles à la Fédération de Russie, ainsi que d'autres biens utilisés dans la production de denrées alimentaires (y compris des produits de la pêche) et d'engrais.<br /> <br /> 📍La Russie et les États-Unis ont convenu d'élaborer des mesures pour mettre en œuvre les accords entre les présidents des deux pays concernant l'interdiction des grèves sur les installations énergétiques en Russie et en Ukraine pour une période de 30 jours, à compter du 18 mars 2025, avec possibilité de prorogation et de retrait de l'accord en cas de non-respect par l'une des parties.<br /> <br /> La Russie et les États-Unis accueillent favorablement les bons offices de pays tiers visant à soutenir la mise en œuvre des accords dans les secteurs de l'énergie et du transport maritime.<br /> <br /> La Russie et les États-Unis continueront d'œuvrer pour une paix solide et durable.
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R
Merci pour ces infos, Caius.
A
Trump n'est peut-être pas un agent russe au sens strict du terme mais il est assurément l'homme de Moscou. Lui, l'homme d'affaires, a bénéficié, entre autres, d'injections de fonds russes pour remettre à flot ses investissements dans l'immobilier qui prenaient de l'eau dans les années 90...Ce dont il n' avait pas fait mystère à l'époque. <br /> Entre Trump et la Russie la lune de miel a déjà duré plus de 40 ans ...<br /> <br /> https://www.youtube.com/watch?v=996KRa_rz7c<br /> <br /> <br /> https://www.babelio.com/livres/Gente-Notre-homme-a-Washington--Trump-dans-la-main-des-/1706009<br /> <br /> Et, bien évidemment, Trump n'a qu'une seule hâte: liquider l'affaire ukrainienne, lever les sanctions contre la Russie et reprendre le business avec eux. Bref, c'est tellement immonde et prévisible tout ça...<br /> <br /> La paix de Trump sera une paix de dupes qui permettra d'affirmer ceci:<br /> <br /> 1.- Pour Poutine (le criminel de guerre aux mains pleines de sang réclamé par la CPI), pour Poutine le Boucher, le crime a payé grâce à Trump...<br /> <br /> 2.- Le droit du plus fort s'impose au XXI ème siècle au détriment de toute morale et de toute autre considération grâce à Trump.<br /> <br /> PS: Bien évidemment je suis en faveur d'un cessez-le-feu pour arrêter la boucherie, mais un cessez-le-feu à la coréenne. Donc maintien de sanctions contre la Russie et pas de normalisation avec ce pays tant qu'il ne rend pas les territoires qu'il a confisqués à son avantage.
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A
Effectivement Caius les chiffres de l'article que vous citez donnent le tournis. Difficile de ne pas se poser la question de base : " Dans quoi on s'est embarqué?"....<br /> Etait-ce raisonnable de notre part de faire des promesses qu'on ne pourrait pas tenir?<br /> La crise ukrainienne a agi comme un révélateur de nos dysfonctionnements, de nos limites, et oblige les technocrates de l'UE à tout repenser.
C
"Ces derniers jours, les Européens ont peiné à s'entendre sur un programme d'armement supplémentaire de 5 milliards de dollars pour l'Ukraine. Le financement d'une aide budgétaire de 20 milliards de dollars à l'Ukraine en 2026, suite à un cessez-le-feu cette année, pourrait encore susciter une vive réaction de la part de ceux, de gauche comme de droite, nationalistes, qui estiment que la guerre aurait dû prendre fin en 2022. Je pense que le Royaume-Uni et l'Europe trouveraient économiquement et politiquement intenable de prolonger la guerre au-delà de cette année sans les États-Unis. C'est une raison supplémentaire pour laquelle les dirigeants européens devraient soutenir les négociations de paix en cours."<br /> https://responsiblestatecraft.org/ukraine-after-the-war/
R
Merci, AJE, pour ces infos : des liens de longue date entre Trump et la Russie... le business d'abord ! d'autant que les terres rares d'Ukraine sont convoitées par tous...
C
NÉGOCIER LA PAIX N'EST PAS UNE TRAHISON ENVERS L'UKRAINE<br /> L'Europe a besoin d'une architecture de sécurité qui reconnaisse les intérêts de la Russie.<br /> Par Ted Snider<br /> <br /> Le président Donald Trump a abandonné la politique de Biden consistant à « ne rien faire pour l'Ukraine sans l'Ukraine » et à isoler la Russie. Il a poussé Volodymyr Zelensky à la table des négociations et a négocié avec Vladimir Poutine. Il a plaidé pour une fin de la guerre sans affaiblir la Russie et sans que l'Ukraine ait récupéré les territoires conquis.<br /> <br /> L'Europe et le Canada sont en colère. Emmanuel Macron et Keir Starmer forment une « coalition de volontaires » pour continuer à soutenir l'Ukraine. Le nouveau Premier ministre canadien, Mark Carney, a rencontré Macron pour son premier voyage à l'étranger pour « exprimer leur soutien indéfectible à l'Ukraine qui continue de résister à la guerre d'agression injustifiable de la Russie ». Tout en encourageant ostensiblement un cessez-le-feu, ils encouragent également l'Ukraine à poser des conditions qui compromettraient un cessez-le-feu, telles que des garanties de sécurité soutenues par l'Occident, que Moscou a voulu empêcher en lançant son invasion.<br /> <br /> Si les Démocrates, les Européens et les Canadiens ont le droit de se sentir trahis par presque toutes les actions de Trump, tant sur le plan intérieur qu'international, ce sont eux, et non Trump, qui trahissent l'Ukraine.<br /> <br /> Négocier n'est pas une forme d'apaisement. Plusieurs raisons expliquent pourquoi la stratégie de cessez-le-feu de l'administration Trump ne constitue pas une trahison.<br /> <br /> Dans un monde de journalisme et d'annonces politiques sur les réseaux sociaux, de guerres hybrides et de désinformation, la réalité compte toujours. La Russie gagne la guerre ; l'Ukraine la perd. La poursuite de la guerre entraînerait davantage de pertes humaines et territoriales pour l'Ukraine. Par conséquent, la prolonger serait une trahison des intérêts de l'Ukraine. Sa prolongation n'apporterait rien et entraînerait la perte de nombreuses vies ukrainiennes.<br /> <br /> La réalité continue de peser sur le champ de bataille. L'Ukraine ne deviendra pas membre de l'OTAN. L'administration Trump l'a clairement fait savoir, et elle a transmis ce verdict à ses alliés de l'OTAN. Le 14 mars, lorsqu'on a demandé au secrétaire général de l'OTAN, Mark Rutte, si Trump avait exclu l'adhésion de l'Ukraine à l'OTAN, il a simplement répondu « oui ». Même avant la réélection de Trump, l'Ukraine n'était pas près de rejoindre l'alliance. La porte de l'OTAN était fermée, même sous l'administration Biden, qui s'est toujours abstenue d'offrir autre chose que la promesse creuse d'une « voie irréversible » et a toujours refusé de déployer des troupes américaines sur le sol ukrainien. Elle l'a fait pour la même raison qu'elle a refusé d'accorder à Kiev la protection de l'article cinq de l'OTAN : elle ne voulait pas d'une guerre avec la Russie qui risquerait de se transformer en Troisième Guerre mondiale. Il est temps d'admettre cette réalité et de la formaliser, plutôt que de poursuivre une guerre inutile.<br /> <br /> Le tracé des frontières constituera l'un des défis des négociations de cessez-le-feu. La Russie devra probablement faire des concessions, conserver les territoires conquis et renoncer à ses revendications sur une partie des territoires qu'elle espérait obtenir. Là encore, les amis de l'Ukraine doivent reconnaître ce que Kiev a déjà accepté : les territoires perdus ne seront pas reconquis par la guerre. Le secrétaire à la Défense, Pete Hegseth, a souligné auprès de l'OTAN et des ministres ukrainiens de la Défense que toute idée de reconquête de l'ensemble du territoire ukrainien était « un objectif irréaliste » et « illusoire ». Zelensky a déjà concédé que « nous n'avons pas la force » de reconquérir la Crimée et le Donbass, tout en insistant sur le fait que l'Ukraine « ne peut légalement reconnaître aucun territoire occupé de l'Ukraine comme russe ».<br /> <br /> Moscou poursuivra le combat jusqu'à ce que la sécurité des Russes du Donbass soit assurée. C'est aussi une réalité. La possibilité que cet objectif clé de la Russie ait pu être atteint par l'autonomie plutôt que par l'annexion a été anéantie par la duplicité occidentale autour des accords de Minsk et par les pressions exercées par les États-Unis et le Royaume-Uni sur l'Ukraine pour l'éloigner de la table des négociations à Istanbul au cours des premières semaines de l'invasion de Poutine en 2022. Les forces armées ukrainiennes ne sont pas en mesure de reconquérir l'intégralité du Donbass et de la Crimée, et la Russie ne cessera les combats que lorsque son contrôle sur ces territoires sera assuré. Ne pas reconnaître cette réalité garantit la poursuite des combats.<br /> <br /> Reconnaître que la Russie a des préoccupations sécuritaires analogues aux nôtres et reconnaître nos promesses non tenues par le passé concernant l'expansion de l'OTAN n'est pas non plus une forme d'apaisement. La guerre de la Russie contre l'Ukraine ne peut être légitimée, mais les préoccupations qui l'ont motivée peuvent être discutées. La Russie a tenté ces discussions deux mois avant la guerre avec la proposition de garanties de sécurité qu'elle a présentée aux États-Unis et à l'OTAN. La Russie a eu tort de répondre à des promesses non tenues en attaquant l'Ukraine, mais elle n'a pas tort de dire que les États-Unis et l'OTAN lui ont assuré que l'OTAN ne s'étendrait pas plus à l'est après la Guerre froide.<br /> <br /> Il est également évident qu'il n'y aura pas de paix durable et sûre en Ukraine tant que la promesse non tenue de « pas d'Ukraine dans l'OTAN » ne sera pas réaffirmée et signée.<br /> <br /> Bien que l'Europe, en colère à juste titre, soit amère à l'idée d'accueillir à nouveau la Russie, le secrétaire général de l'OTAN, Mark Rutte, a déjà déclaré qu'une fois la guerre terminée, les États-Unis et l'Europe « rétabliront des relations normales avec la Russie ». Le rétablissement de ces liens sera nécessaire pour garantir une paix durable. L'échec de la construction d'une architecture de sécurité européenne inclusive à la fin de la Guerre froide a laissé la Russie, à l'extérieur, se sentant menacée, l'alliance occidentale empiétant sur ses frontières. Du point de vue russe, cet échec est la principale cause du retour de la guerre en Europe. Pour prévenir de futures guerres sur le continent, il faut enfin y remédier. Reconnaître que l'Ukraine et l'Europe ne peuvent être en sécurité qu'en négociant des garanties de sécurité plus larges que l'Ukraine et englobant toute l'Europe ne constitue pas une trahison envers l'Ukraine ni envers l'Europe.<br /> <br /> Faire pression pour mettre fin à la guerre en Ukraine n'est pas une trahison à l'égard de l'Ukraine. C'est aligner la politique sur la réalité plutôt que sur les rêveries. Elle laisse l'Ukraine souveraine, avec la majeure partie de son territoire, en sécurité et libre de poursuivre des relations de plus en plus solides avec l'Europe. Elle apporte à la Russie la sécurité qui lui a été promise afin qu'elle puisse se sentir à l'aise à l'intérieur de ses frontières. Elle laisse à l'Europe une architecture de sécurité qui aurait dû être mise en place depuis longtemps et qui a de meilleures chances de garantir une paix permanente sur le continent. Les cris de trahison de l'Europe et sa résistance aux efforts de paix de l'administration Trump ne sont pas dans l'intérêt de l'Ukraine. Ils ne risquent que de prolonger la guerre et d'aggraver les pertes en terres et en vies humaines.<br /> <br /> https://www.theamericanconservative.com/negotiating-a-peace-is-not-a-betrayal-of-ukraine/
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R
Merci, Caius, pour cet article de Ted Snider... la paix est souhaitable, c'est certain... à quelles conditions ? On ne sait pas encore... Les territoires à l'est, comme le Donbass, sont riches de terres rares : il y a là aussi un enjeu économique important pour les deux camps, sans doute... ?<br /> <br /> Le même Ted Snider a écrit cet article :<br /> <br /> https://www.theamericanconservative.com/trump-destroyed-americas-relationship-with-canada/<br /> <br /> "Les dommages causés par Trump aux relations canado-américaines semblent, pour l'instant, irréparables, à en juger par les propos du successeur de Trudeau."<br /> <br /> Personne ne peut savoir avec certitude si Trump se contente d'employer les tactiques d'intimidation qui semblent être son premier outil de négociation, ou s'il cherche sérieusement à paralyser l'économie canadienne pour faciliter l'accaparement du territoire canadien. Ce qui est indéniable, c'est la triste réalité : l'une des relations les plus étroites et les plus enviées de la communauté internationale est désormais en ruine."<br /> <br /> Trump veut finir une guerre pour en commencer d'autres ?
L
À une époque j'utilisais des "sticker" de trump dans mes conversations WhatsApp... Je les ai tous effacés.
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R
Ce n'est pas possible ? Des stickers de Trump ? Quelle idée !?
C
Contrairement à ce que les médias européens rabâchent, ce n'est pas par amour de la Russie mais par calcul rationel que Donald Trump désire mettre fin à ce conflit.
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C
@LH <br /> <br /> Pour ce qui concerne les prétendus gisements de terres rares, c'est le bouffon vert qui les a proposé le premier à l'administration Biden et leur existence est sujette à caution. <br /> <br /> Quant aux centrales énergétiques, zelensky réclamait à Trump de nouveaux missiles Patriot pour assurer leur "protection". Trump lui a rétorqué qu'il y réfléchirait mais qu'à son avis les Russes n'attaqueront plus ces centrales si leur propriété est transférée aux USA. Manière polie de dire non puisqu'il sait que zelensky refusera.
R
Donald Trump admirerait, selon certains médias, l'homme Poutine, sa force, sa virilité, il y verrait une sorte de double de lui-même... Le calcul de Trump vise aussi à servir ses intérêts : c'est surtout un homme d'affaires...
L
Le calcul rationnel inclut bien sûr le profit, en mettant la main de l'Amérique sur les terres rares et les centrales d'énergie ukrainiennes...

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