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4 septembre 2024 3 04 /09 /septembre /2024 09:22
Comment lutter contre le tabagisme ? La méthode britannique...

 

"Le premier ministre britannique confirme son intention de prendre de nouvelles mesures pour lutter contre le tabagisme et le drastique Keir Starmer emboîte ainsi le pas à son prédécesseur, non sans risquer de s'enliser dans une durable impopularité...

La cigarette va-t-elle disparaître de l'espace public britannique ?

Finie la cigarette grillée dans la cour d'un pub, en terrasses des restaurants ou encore en sortant du stade à Londres ou Manchester. Le premier ministre britannique veut donc frapper fort, à en croire le tabloïd The Sun qui cite également l'interdiction de fumer à l'extérieur des boîtes de nuit comme les bases du projet du gouvernement.

Pouvoir respirer enfin ! Retrouver le bonheur de respirer un air sain !

Keir Starmer n'entre pas dans les détails mais promet aujourd'hui une lutte sans faille contre le tabac.

"La première chose que je voudrais rappeler, c'est que le tabac, c'est 80 000 morts par an au Royaume-Uni, des morts évitables, un coût très lourd pour le NHS et pour le contribuable... alors, oui, évidemment, nous allons prendre des mesures."

Le premier ministre britannique promet des détails rapidement, insiste sur le coût faramineux du tabagisme pour un système de santé à bout de souffle... Il lui faudra des arguments de poids pour faire passer des mesures aussi radicales, face aux lobbies du tabac, face aux gérants des pubs qui s'étranglent déjà, et à une opposition populiste aux aguets.

Son prédécesseur voulait interdire définitivement la vente des cigarettes aux générations nées après 2009 et faire du Royaume-Uni le premier état sans tabac. Starmer semble vouloir marcher dans ses pas..."

Le gouvernement français ferait bien de s'en inspirer...

 

Tout devrait inciter chacun et chacune à un abandon de ce qui est une véritable addiction : tout d'abord le tabac, c'est de l'argent qui part en fumées... les cigarettes deviennent des produits de luxe inabordables, de plus en plus chers !

 

Surtout, comment peut- on continuer à fumer quand on connaît tous les dégâts générés par le tabac sur la santé, le bien être, la forme ou tout simplement sur le bonheur ?

 

Fumer, c'est se priver des plaisirs les plus simples de la vie. Finie la sensation du goût : on ne perçoit plus la saveur des aliments, quand la bouche est sans arrêt infestée par le tabac... On en perd aussi le sens de l'odorat, les parfums sont masqués par les vapeurs de la nicotine. Arrêter de fumer, c'est redécouvrir le plaisir de manger, de savourer, de humer des senteurs de fleurs, d'arbres, de fruits... C'est redécouvrir le bonheur de vivre, de respirer !

Les effets sur la santé sont aussi catastrophiques :  des conséquences graves sur la santé, le coeur, les poumons ...que tout le monde connaît !


Arrêter de fumer, c'est aussi ne plus enrichir le lobbying très puissant de l'industrie du tabac et par conséquent aussi celui de l'industrie pharmaceutique pour les années à venir ! 

 Mais l'état se révèle inefficace face à ces lobbies : nous vivons dans une civilisation du fric, de l'argent roi, du veau d'or...

 

Source :

à 4 minutes 55

https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/journal-de-18h/journal-de-18h-emission-du-jeudi-29-aout-2024-1776144

 

 

 

 

Comment lutter contre le tabagisme ? La méthode britannique...
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22 mai 2024 3 22 /05 /mai /2024 09:05
L'ennemi du monde moderne : le sucre...

 

"L'ennemi du monde moderne est dans ce que l'on mange : c'est le sucre... il est partout, invisible, sournois et flatteur.

Vous l'ingurgitez sans le savoir et hop ! le cerveau est immédiatement subjugué : aussitôt qu'il excite une papille de la langue, le sucre active la circuit de la récompense et quand il arrive dans l'intestin, il recommence, et la dopamine, hormone de la satisfaction est émise et se diffuse dans le sang. A force, on en redemande, car on en a besoin.

 

Pour les gros mangeurs de sucre- ils seraient 10% de la population française- c'est alors l'addiction au sucre...

Selon les autorités sanitaires, près d'un Français sur deux est trop gros ou obèse, parce qu'il mange trop de produits transformés qui sont tous pleins de sucre.

Dans un paquet de chips, la moitié du poids, eh oui ! c'est du sucre...

 

Or, nous sommes nés à une époque lointaine où le sucre n'était pas disponible facilement : il fallait aller le chercher, l'extraire de ce que nous mangions. Notre organisme est fait pour extraire lui-même le sucre des légumes, des viandes et des fruits, pas pour en être gavé.

Par jour, en plus du sucre que nous extrayons nous-mêmes de notre nourriture, nous n'avons pas besoin de plus de 25 grammes de sucre qu'ont rajouté les industriels ou que nous rajoutons nous-mêmes dans notre café ou notre yaourt. 25 grammes, c'est 4 cuillères à café bien pleines.

L'OMS, elle, recommande de ne pas dépasser 50 grammes de ces sucres ajoutés.

Pourtant, en France, de 20 à 30 % des adultes et des adolescents sont à plus de 100 grammes par jour. 60% des 8 à 12 ans dépassent déjà les 75 grammes par jour et 75% des 4 à 7 ans dépassent 60 grammes par jour.

 

Voilà une belle victoire de l'industrie agroalimentaire car elle a fait du sucre une de ses matières premières essentielles, y compris dans les produits salés...

Pourquoi ? Parce que le sucre ne coûte rien, parce qu'il donne bon goût, et surtout parce qu'il rend addict.

Or, le sucre dont les produits transformés sont gavés est à la fois trop nombreux et trop simple, le corps ne sait pas quoi en faire, alors il le stocke sous forme de graisse... et cela, grâce à l'insuline. Lorsque le sucre arrive dans le sang, le pancréas diffuse cette hormone qui a pour rôle de faire ouvrir les parois cellulaires, le sucre rentre alors dans les cellules, il y est transformé en lipides, il n'est donc pas métabolisé, hydrolysé, il est stocké sous forme de graisses.

 

Ce n'est pas tout, car l'industrie a réussi aussi l'exploit de transformer les pâtes et le riz en sources de sucre : ces deux produits alimentaires sont constitués d'amidon. L'amidon est une longue chaîne très solide formée de molécules de glucose. La cuisson permet à l'amidon d'être digeste : ses sucres seront donc métabolisés et non pas stockés sous forme de graisse.

Or, avec ses pâtes cuites en 3 minutes, et son riz en 5 minutes, l'industrie a créé des produits pervers. 3 minutes, 5 minutes, c'est trop court... le plus souvent, on oublie, on fait cuire une ou deux minutes de plus, et on mange des pâtes et du riz tout mous, cela veut dire de l'amidon tellement cassé que le glucose va se libérer immédiatement et devenir lipide.

 

Le summum de la perversion de l'industrie, ce sont les produits extrudés : l'industrie passe les céréales, les matières premières dans une sorte de vis sans fin qui les écrase et les chauffe. L'amidon est brisé ce qui permet de donner des céréales du petit déjeuner, des gâteaux apéro et sucrés aux formes bizarres, mais aussi des galettes de riz et autres cochonneries, et moyennant quoi, un bol de céréales le matin, c'est d'un point de vue nutritionnel exactement comme manger un bol de bonbons : il y a autant de sucre et que du sucre...

 

Dans les années 60, des boîtes pharmaceutiques américaines ont découvert les statines : pour vendre ces médicaments, elles ont inventé un syllogisme formidable : 1) on trouve du cholestérol dans les plaques d'athérome chez les victimes d'infarctus 2) donc le cholestérol est le seul responsable des maladies cardiovasculaires 3) or, nos statines diminuent le risque de faire un accident vasculaire 4) donc nos statines détruisent le cholestérol.

Le cholestérol a dès lors été transformé en ennemi pour justifier l'usage des statines. Des chercheurs ont été payés pour le dire et d'autres l'ont été pour affirmer que le sucre, au contraire, n'était pour rien dans les maladies cardiovasculaires..."

 

Alors, toujours prêts à manger des chips et des produits ultra transformés ?

 

 

 

Source :

 

https://tv.marianne.net/focus/l-idee-a-la-con-le-sucre

 

 

 

L'ennemi du monde moderne : le sucre...
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20 décembre 2023 3 20 /12 /décembre /2023 10:38
Le coût exorbitant du diabète...

 

C'est un fléau qui touche déjà plus de 430 millions de personnes dans le monde et devrait frapper un adulte sur dix en 2040. Maladie auto-immune pour celui de type 1, liée à la malbouffe et à la sédentarité pour le type 2, le diabète se déclare sans prévenir.

Malgré des promesses renouvelées de remèdes miracles depuis la découverte en 1922 du rôle de l'insuline dans la stabilisation du taux de glucose dans le sang, le traitement de cette maladie chronique du pancréas pâtit d'une obsession partagée par la communauté médicale et les laboratoires : celle du contrôle glycémique, qui pousse à accumuler les traitements médicamenteux en négligeant leurs effets secondaires parfois fatals.

Les patients sont poussés dans une escalade thérapeutique, qui n'empêche en rien la progression d'une maladie entraînant amputations, cécité et accidents cardio-vasculaires. Alors que les arrêts de travail, les invalidités et le coût des traitements pèsent lourd sur les finances publiques, l'industrie pharmaceutique, elle, continue de prospérer grâce à la maladie : le diabète représente en effet un marché colossal de 46 milliards de dollars annuels.

Tout au long du 20ème siècle, le sucre s'installe durablement dans nos assiettes, il est partout, dans les plats préparés, les sodas, les féculents que nous consommons désormais en excès : s'installe alors le diabète de type 2.

En quelques décennies, les chiffres du diabète explosent. On passe de 50 à 430 millions de diabétiques dans le monde.

Cette maladie s'est propagée sur la planète entière : le diabète concerne aujourd'hui un adulte sur dix.

Le diabète de type 2 est une maladie de société, une maladie de civilisation : dans les années 60, moins d'1% de cas en Allemagne, et aujourd'hui, il représenterait entre 9 et 11 % de la population.

Une maladie silencieuse qui s'installe sans qu'on s'en aperçoive, jusqu'au jour où les problèmes sérieux commencent.

Un taux de sucre élevé dans le sang peut entraîner des complications graves : il y a beaucoup de maladies qui se développent, les complications microvasculaires pour les yeux et les reins, mais aussi pour les nerfs, des complications macrovasculaires concernent les artères du cou et du coeur. Les personnes diabétiques ont un risque de crise cardiaque aussi élevé que les non diabétiques qui ont déjà eu un accident cardiovasculaire.

Une des complications redoutées est le syndrome du pied diabétique : quand le système nerveux est défaillant, les pieds n'ont plus de sensibilité, et les personnes se blessent sans le sentir, ils ne remarquent pas leurs blessures qui s'infectent.

Devant l'explosion du diabète de type 2, l'industrie pharmaceutique répond présente. Dès les années 80, une multitude de traitements sont proposés et les publicités vantent une vie radieuse et insouciante. On propose aux patients des antidiabétiques oraux. Ces médicaments permettent en principe de garder le diabète sous contrôle, mais pas d'en guérir.

Des traitements à vie dont les prix n'arrêtent pas de grimper...

Face à ce tsunami sanitaire aux prix prohibitifs, la communauté internationale tire la sonnette d'alarme. Le diabète coûte cher, trop cher.

760 milliards de dollars au niveau mondial ! Le diabète pèse sur les systèmes de santé. Il affecte aussi la productivité des pays.

La lantus promue par le laboratoire Sanofi n'est pas supérieure aux autres insulines, et pourtant, elle est vendue beaucoup plus cher. Les études cliniques auraient été faussées.

Mais les ventes de la lantus n'ont pas baissé : des habitudes sont prises.

 

Des mesures préventives devraient être envisagées : mise en garde contre la consommation de sucre, contre tous les produits transformés qui contiennent beaucoup trop de sucre et de sel...

 

 

 

Source :

 

https://www.arte.tv/fr/videos/080158-000-A/diabete-une-addition-salee/

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5 octobre 2020 1 05 /10 /octobre /2020 11:34
Médicaments : des études cliniques truquées ?

 

 

Avec le Covid-19, les médicaments sont à la UNE de l'actualité : les labos de la planète s'activent pour trouver le médicament miracle qui serait susceptible de guérir la maladie.

 

On s'en doute : les enjeux financiers sont colossaux, à la clé : des profits et des gains gigantesques ! 

 

Mais nous sommes en droit de nous poser cette question : les médicaments lancés sur le marché sont-ils fiables ? Les études cliniques qui permettent de les valider sont-elles sérieuses ?

 

En fait, "souvent les preuves sont gonflées pour les résultats positifs... tout est fait pour obtenir le résultat souhaité." C'est ce qu'affirme Bernard Bégaud, professeur de pharmacologie.

"On sélectionne les patients, on élimine ceux qui ont des effets indésirables, et après, on commence l'essai."

"La population testée n'a souvent rien à voir avec celle de la vraie vie", déclare encore Bernard Bégaud.

 

"On choisit des gens plus jeunes avec moins de traitements associés, et davantage de cas graves susceptibles de bien réagir au traitement. On peut ainsi obtenir un petit résultat qui, présenté habilement, fera croire que le produit est indispensable."

 

"Ainsi, la plupart des études scientifiques sont erronées", écrit aussi Richard Smith, ex-rédacteur en chef du British médical journal.

C'est le cas des nouveaux médicaments contre le cancer, comme le rappelle l'oncologue Américain Vinay Prasad dans un livre paru en 2020 dont le sous titre est éloquent : "Comment de mauvaises preuves nuisent aux malades du cancer."

En plus, ces médicaments sont extrêmement coûteux !

 

On le voit : de telles pratiques sont indignes et scandaleuses.

Les labos font des profits au détriment de la santé des patients atteints du cancer.

En fait, c'est l'industrie du médicament qui a le monopole des essais sur les nouveaux traitements.

"Seulement 10 à 15 % des nouveaux médicaments apportent un progrès", révèle Bruno Toussaint, directeur de la revue Prescrire.

C'est vraiment peu et c'est particulièrement inquiétant et révoltant !

Bernard Bégaud, lui, a publié un ouvrage intitulé La France malade du médicament... un constat terrible sur le manque d'évaluation des médicaments, avant et après leur mise sur le marché.

 

Et les médecins eux-mêmes ont souvent la main lourde quand ils rédigent  leurs ordonnances...

 

 

 

 

 

Source : un article de Brice Perrier paru dans le journal Marianne

 

Médicaments : des études cliniques truquées ?
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22 novembre 2019 5 22 /11 /novembre /2019 13:39
Encore un médicament dangereux : le Finastéride...

 

 

Messieurs, vous avez des problèmes de calvitie ? Votre médecin vous a peut-être prescrit cette substance : le Finastéride...

 

Administré à l’homme jeune atteint de calvitie légère, le Finastéride, qui agit sur une hormone responsable de la chute de cheveux, montre une efficacité très modeste. Alors que l'on connaît ses lourds effets secondaires – dépression, idées suicidaires, troubles sexuels potentiellement persistants après l’arrêt du traitement – , les autorités de santé ne l’ont toujours pas retiré du marché.

 

Evidemment, les enjeux financiers sont colossaux et les laboratoires qui diffusent ces produits font fi de la santé des gens.

 

Il est commercialisé sous le nom de Propecia et plusieurs génériques sont aussi sur le marché. Il fonctionne en bloquant la production d’une hormone appelée DHT, responsable de ce type de calvitie. 

 

Anxiété, dépression, idées suicidaires, pathologies musculaires graves, réactions de type allergique, cas de cancers du sein chez l’homme, persistance des troubles sexuels après l’arrêt du traitement, autant d’effets secondaires à mettre au compte de ce médicament.

Tout cela pour un médicament dit de confort ?

 

Comment l'ANSM peut-elle encore autoriser une telle substance ?

La balance bénéfices/ risques serait favorable ! ? Mais quels bénéfices face à tous les risques encourus qui sont gravissimes ?

 

Encore une fois, il est inadmissible que de tels "médicaments" soient mis sur le marché.

Honte à ceux qui s'enrichissent au mépris de la santé des gens !

Honte à l'industrie du médicament qui lance sur le marché des produits hautement toxiques !

 

Ce n'est pas un hasard si les médecins eux-mêmes refusent d'évoquer les effets dits "secondaires" des médicaments... Ils se font eux-mêmes complices de cette industrie.

Les médecins ont aussi souvent, l'ordonnance et la prescription faciles : ils se soumettent aux lobbies des laboratoires qui vendent leurs substances à prix d'or.

 

Ils deviennent des distributeurs de médicaments et ne tiennent plus compte de l'intérêt du patient...

Des médicaments qui deviennent de plus en plus chers et qui servent surtout à enrichir l'industrie pharmaceutique...

 

 

 

 

 

 

 

Encore un médicament dangereux : le Finastéride...
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16 octobre 2019 3 16 /10 /octobre /2019 08:09
Après le scandale du Mediator, peut-on encore avoir confiance dans les médicaments ?

 

Deux mille morts, peut-être plus, deux mille victimes du Mediator, ce poison commercialisé par le laboratoire Servier...

 Cette molécule, de la famille des amphétamines, a provoqué chez les patients des problèmes de santé gravissimes : des valvulopathies cardiaques et de l'hypertension artérielle pulmonaire.

 

Comment ce poison a-t-il pu être mis sur le marché ?

Au début des années 1990, la toxicité d'autres médicaments du laboratoire Servier (l'Isoméride et le Pondéral) avait été établie, ce qui avait conduit au retrait de ces produits. Comment le Mediator, dont le principe actif est de même nature, a-t-il pu rester en vente ?

 

Prescrite contre le surpoids et contre le diabète, cette substance a été largement diffusée. En plus, il y avait tromperie sur la marchandise : ce produit qui était un coupe-faim était totalement inefficace contre le diabète.

Et qu'a fait l'Agence nationale de sécurité du médicament ? A quoi sert cet organisme ? Pourquoi a-t-on laissé faire ?

 

Le laboratoire Servier a gagné plus d'un milliard d'euros avec ce "médicament". L'industrie pharmaceutique fait ainsi des profits considérables et les produits qu'elle vend sont de plus en plus chers.

Les intérêts financiers sont colossaux et la corruption est partout.

On fait fi de la santé des gens.

 

Tant de médicaments inutiles et dangereux sont mis sur le marché !

Le Vastarel, commercialisé encore par le laboratoire Servier provoque des troubles neurologiques : tremblements, raideur, lenteur des mouvements, déséquilibre dans la démarche...

Que dire des statines qui peuvent entraîner troubles de la mémoire, tremblements, douleurs musculaires, destruction des muscles, chutes, confusions, diabète, décès. Pourtant, de nombreux cardiologues prescrivent ce "médicament".

 

La plupart de ces molécules ont des effets dits "secondaires" qui sont, en fait dévastateurs.

Quel sera le prochain médicament incriminé ? 

 

Les médecins ont aussi souvent, l'ordonnance et la prescription faciles : ils se soumettent aux lobbies des laboratoires qui vendent leurs substances à prix d'or.

Le scandale du Mediator met en évidence le règne de l'argent, la corruption qui gangrène l'industrie pharmaceutique.

Après un tel scandale, peut-on encore avoir confiance dans les médicaments ?

Honte à ceux qui profitent de cette manne au mépris de la santé des patients !

 

 

 

 

Après le scandale du Mediator, peut-on encore avoir confiance dans les médicaments ?
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27 mars 2019 3 27 /03 /mars /2019 09:08
Quand les gros deviennent des cibles publicitaires...

 

De nombreuses publicités s'adressent désormais à des gens qui souhaitent maigrir... un secteur particulièrement porteur...

En France, 7 millions de personnes sont considérées comme obèses. A partir de 45 ans, un Français sur deux est en surpoids contre une Française sur quatre.

 

Et, bien sûr, cela représente un marché colossal pour l'industrie : "Des régimes amaigrissants, des produits pharmacologiques et diététiques, des méthodes et des appareillages amaigrissants de toutes sortes peuvent être commercialisés sans que personne ne mette en garde le public contre les faux espoirs qu’ils entretiennent, et contre les dangers qu’ils font courir à la santé..."

 

Dans ce domaine, on nous vend tout et n'importe quoi.

Ainsi, j'ai reçu récemment une publicité vantant les vertus d'un chewing-gum "aux pouvoirs amincissants" !

En voici l'argumentaire :

"Quoi de plus facile pour des personnes qui aiment manger
 que de mâcher un chewing-gum?
Les résultats obtenus sont époustouflants… Jugez-en plutôt :

Testé sur 119 patients ayant tous une surcharge pondérale de plus de 50 kilos, 97% ont perdu plus de 7 kilos dès la première semaine !"

On le voit : les termes utilisés sont hyperboliques, trompeurs, mensongers...

Et pour illustrer ce discours tapageur, les publicitaires utilisent des photos avant-après.

 

Or, l’obésité est une maladie qui nécessite une prise en charge strictement encadrée par des médecins...

 

Et, pourtant, des publicités fleurissent un peu partout : on en voit souvent sur nos écrans de télévision où l'on vante les mérites de régimes alimentaires aux effets spectaculaires.

 

Le problème est complexe car d'un autre coté, l'industrie alimentaire a tendance à nous vendre des produits de plus en plus gras, sucrés et salés.

Le business de l'obésité n'est donc  pas près de s'éteindre.

On nous vend le poison, puis le contre poison...

Ainsi, l'industrie alimentaire n'est-elle pas au service de l'industrie pharmaceutique, comme je le suggérais dans un précédent article ?

Notre alimentation bourrée d'additifs, de colorants, de conservateurs, nos fruits et nos légumes pollués par des pesticides, nos viandes menacées par des importations d'animaux transgéniques, nos poissons saturés de mercure ou d'autres produits polluants qui sont déversés dans les mers et les océans... Voilà un  tableau terrifiant... Et cette alimentation industrielle est aussi chargée en graisses et en sucres...

 

Pour maigrir, il convient d'abord d'éviter tous ces produits et de faire du sport, de réapprendre à marcher... 

"Je marche pour demeurer maigre. J'ai horreur du gras, pas de celui des autres - et le ciel m'est témoin que j'ai de bons amis gros - mais du mien propre. Je considérerais la prise de kilos superflus comme une défaite morale..." écrit Sylvain Tesson, à ce sujet.

 

 

 

 

Quand les gros deviennent des cibles publicitaires...
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25 février 2019 1 25 /02 /février /2019 12:26
Les opioïdes : mort sur ordonnance...

 

La première fois que j'ai entendu parler des opioïdes, c'est par le témoignage d'une de mes amies : victime d'arthrose, elle prend depuis des années du Tramadol, et n'arrive plus à s'en passer.

En cas, de manque, elle étouffe, elle est prise de malaise. Elle est devenue dépendante de cette substance.

Prescrits en masse pour calmer les douleurs, les opioïdes tuent près de 200 Américains par jour, 72000 en 2017, c'est ce que nous révèle un reportage diffusé lors de l'émission Envoyé spécial...

C'est plus que les armes à feu et  les accidents de la route réunis.

Aux Etats-Unis, un bébé naît toutes les 20 minutes, intoxiqué aux opioïdes, une véritable épidémie.

Tout un pays vacille, contaminé par ces substances : les médicaments se sont mis à tuer, en raison de problèmes d'addiction et d'overdose. Des overdoses sans drogue et sans dealer. Ce qui empoisonne l'Amérique aujourd'hui vient de l'armoire à pharmacie !

Les victimes, des citoyens ordinaires, sont emportés par ce qu'il faut bien appeler une véritable épidémie.

Ces opioïdes sont particulièrement dangereux : ils peuvent provoquer un arrêt respiratoire.

Au cours de l'émission, on entend le témoignage de certains patients : un père de famille de 51 ans, chef de chantier, devenu SDF, toxicomane, après un accident du travail... Il n'avait jamais connu de problème de drogue ni d'alcool. Mais, un jour, il est tombé d'un échafaudage, il s'est cassé la clavicule, arraché une partie de l'épaule... un médecin spécialiste de la douleur lui a alors prescrit des opioïdes en quantité. Il est devenu accro aux pilules.

Il a tout perdu, sa maison, sa voiture, sa famille, il a même volé de l'argent à ses proches pour se procurer ces substances... il avait pourtant confiance en son médecin.

Un autre patient atteint de douleurs d'estomac s'est vu prescrire des opioïdes et il est rapidement devenu dépendant.

Ces médicaments seraient cent fois plus puissants que l'héroïne.

A l'origine de cette épidémie, il y a une pilule miracle présentée comme telle : l'oxycontin, un antidouleur, à base d'opium.

Pendant des années, des médecins ont fait la publicité de ces substances : "pas de dépendance, pas de risque d'addiction", affirmaient-ils. Les ventes ont été dopées, à grand renfort de campagnes publicitaires.

Evidemment, le laboratoire qui fabrique et vend l'oxycontin a fait fortune : Purdue Pharma. A la tête de cette entreprise, la famille Sackler est l'une des dynasties les plus puissantes aux USA.

 

Il faut préciser que ces médicaments sont aussi prescrits en France : 10 à 12 millions de Français en consomment.

Ainsi, le Tramadol est très utilisé dans notre pays, et déjà des patients sont victimes d'addiction.

 

On peut même se procurer du Tramadol, sans ordonnance, auprès de certains pharmaciens complaisants.

Ainsi, le mal qui ravage l'Amérique a traversé l'Atlantique : on consomme de plus en plus d'opioïdes en France. Est-ce là le prochain scandale sanitaire qui va frapper notre pays ?

 

 

Source  : vidéo à 33 minutes

 

https://www.france.tv/france-2/envoye-special/899663-envoye-special.html

 

 

 

 

 

Les opioïdes : mort sur ordonnance...
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30 mai 2018 3 30 /05 /mai /2018 09:38
Ces médecins qui nient les effets secondaires des médicaments...

 

 

 

La crise du Levothyrox a révélé de graves dysfonctionnements : le laboratoire Merck en a changé soudain la formule, avec l'aval des autorités sanitaires... modification apparemment anodine...

 

Pourtant, des dizaines de milliers de patients ont été victimes d'effets indésirables insupportables.

 

Une pétition a dépassé les 300 000 signatures.

7000 patients ont porté plainte pour mise en danger de la vie d'autrui.

 

Difficultés à respirer, fatigue extrême, douleurs, perte de mémoire, nausées, diarrhées, vertiges, palpitations cardiaques, état dépressif... comment vivre normalement avec de tels effets secondaires ?

Face à ces symptômes, de nombreux médecins sont allés jusqu'à parler d'hystérie collective, niant les effets délétères du Levothyrox.

 

"C'est impossible d'obtenir de la plupart des médecins, qu'ils soient généralistes, ou même endocrinologues d'avoir une possibilité de parler de sa souffrance, parce qu'ils ne veulent pas entendre... donc, quel est le problème des médecins et pourquoi sont-ils si récalcitrants à la souffrance de leurs patients ?" Telle est la question posée par une des victimes du Levothyrox...

 

Un médecin doit pourtant, en priorité, entendre les douleurs ressenties par les malades, c'est là un minimum.

Beaucoup de patients estiment avoir été très mal reçus par leur médecin.

Et pourquoi est-il ainsi interdit d'évoquer ce que l'on appelle pudiquement "les effets secondaires" des médicaments ? Un doux euphémisme pour masquer les conséquences parfois terribles de ces substances...

 

Les médecins seraient-ils de connivence avec les laboratoires pharmaceutiques ?

C'est inquiétant : pour eux, à priori, le médicament n'est jamais responsable d'un quelconque trouble.

 

Il suffit, pourtant, de regarder la notice pour prendre conscience des dangers encourus...

Mais non ! La notice est faite pour ne pas être lue !

 

Et, puis, les effets secondaires sont mis, parfois, sur le compte d'une dépression : le patient a besoin d'un psychiatre !

De tels manquements à la déontologie médicale sont ignobles : nier ainsi la réalité devant des patients en détresse, c'est d'une irresponsabilité totale.

 

Que devient la profession de médecin quand les docteurs se voilent la face et font semblant de ne pas voir les effets des substances qu'ils prescrivent ?

 

 

 

Source :

https://www.francetvinfo.fr/replay-magazine/france-2/13h15/13h15-du-samedi-12-mai-2018_2738377.html

 

 

 

 

 

 

Ces médecins qui nient les effets secondaires des médicaments...
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25 mai 2018 5 25 /05 /mai /2018 12:23
Le dioxyde de titane même dans les médicaments !

 

 

Le "dioxyde de titane" est utilisé pour blanchir des aliments, des confiseries ou des médicaments. Ce produit, appelé aussi E171, présenterait un risque cancérigène.

 

A l'origine, il s'agit d'un minerai présent dans la nature : on l'utilise dans les montres, les ordinateurs, les avions pour sa résistance à l'érosion.

Pour transformer ce minerai en poudre, on verse de l'acide, puis il est broyé en particules très fines, invisibles à l'oeil nu : des nanoparticules...

Une étude publiée en janvier 2017 par l'Institut national de la recherche agronomique avait mis en évidence la nocivité de l'E171. "Menée sur des rats, elle démontrait que l'absorption de cette substance représente un danger pour les êtres vivants. Une fois ingéré, le dioxyde de titane passe au travers de la paroi de l'intestin pour finir par se retrouver dans l'organisme, entraînant des troubles du système immunitaire. Une exposition régulière à ce produit induit l'apparition de lésions précancéreuses pour le rongeur."

 

Cet additif se présente sous la forme d'une poudre composée de nanoparticules, employée pour blanchir et nacrer des dentifrices, des crèmes cosmétiques, des dentifrices ou encore, des confiseries et de nombreux aliments préparés.

 

Cet additif est partout, même là où on ne le soupçonnerait pas... et même dans des médicaments qui sont normalement faits pour soigner.

 

Comment les laboratoires peuvent-ils utiliser des produits toxiques pour fabriquer des médicaments ?

Où est la cohérence ? A moins que les laboratoires soucieux de leurs chiffres d'affaires ne veuillent générer de nouvelles maladies afin d'engranger toujours plus de profits !

Une stratégie machiavélique dans un monde où l'argent est roi, dans un monde où on fait fi de la santé des gens...

 

Que deviennent l'éthique, la morale quand des labos créent des médicaments remplis d'additifs délétères ?

Et que penser des industriels de l'agro-alimentaire qui intègrent des produits nocifs dans des confiseries pour enfants ?

 

Sont ainsi impactés des organismes particulièrement fragiles : des enfants, des malades.

Les labos devraient recevoir injonction de fabriquer des médicaments sans polluants...

Mais les industriels se soucient fort peu de la santé des consommateurs, et ce, dans de nombreux domaines.

Certains médicaments sont ainsi vendus fort cher, alors même qu'ils contiennent des substances nocives : colorants et additifs chimiques.

Seuls les colorants naturels devraient être autorisés.

 

 

 

 

Source :

 

https://www.marianne.net/societe/bonbons-cremes-dentifrices-medicaments-quels-sont-les-produits-qui-contiennent-du-dioxyde-de

 

Le dioxyde de titane même dans les médicaments !
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