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3 mars 2023 5 03 /03 /mars /2023 12:56
Les prix vont encore flamber...

Encore une flambée des prix à venir ! On imagine l'inquiétude, l'angoisse des gens les plus démunis face à une inflation galopante...

D'autant que les produits les plus impactés sont les denrées alimentaires... donc des produits de première nécessité.

 

"Les négociations entre les fournisseurs et la grande distribution ont pris fin mercredi 1er mars. Elles devaient déterminer la fixation des prix en rayon. De nombreux produits pourraient finalement voir leurs tarifs augmenter.

 

 

Depuis minuit, c'est acté : dans les rayons de nos supermarchés, les étiquettes vont flamber.

A l'issue des négociations commerciales, de nouvelles hausses de prix sont à attendre dans les rayons.

Parmi les produits qui vont connaître des augmentations, la viande, les légumes ou encore l'hygiène. Avec par exemple, plus 25% pour certaines marques de couches. Même chose du côté des produits laitiers.

Un industriel avait demandé entre plus 9 et plus 15% pour ses produits, il a finalement obtenu autour de 10%.

Insuffisant selon lui face à la hausse des matières premières.

"Le coût du carton a réellement explosé, l'aluminium pour le couvercle est aussi un des matériaux qui a le plus augmenté récemment. A l'intérieur, le lait qui a pris 25%, et le verre a aussi augmenté. Donc un pack de produits laitiers était à 2 euros 10 à peu près, en 2022, il passe à 2, 30 euros." explique cet industriel.

 

D'autres, en revanche, sont satisfaits. Une PME qui produit des boissons demandait 12% de plus que l'an dernier. Elle n'a obtenu que 7%, mais elle a eu des contreparties pour s'y retrouver.

"On a optimisé les coûts de transport, et puis on a référencé une nouvelle boisson, dans l'ensemble des enseignes..."

 

Faut-il pour autant s'attendre à un mur d'inflations dans les prochains jours ?

Selon un expert, "ça va être lissé dans le temps, c'est pour ça que vous aurez des augmentations au mois de mars, mais également au mois d'avril, au mois de mai, et peut-être au mois de juin."

 

 

Face à ces nouvelles hausses, le gouvernement ne veut pas laisser le champ libre et promet que des mesures prendront effet d'ici le 15 mars."

 

Mais on peut le craindre : le pire est à venir.

Cette inflation qui ne cesse de s'aggraver va encore grever le budget des ménages et mettre en difficulté les plus modestes.

 

Source :

https://www.francetvinfo.fr/economie/inflation/inflation-vers-une-nouvelle-hausse-des-prix-dans-les-supermarches_5689226.html

 

 

 

Les prix vont encore flamber...
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3 février 2023 5 03 /02 /février /2023 13:08
La filière bio menacée...

 

Encore une filière en difficulté face à l'inflation...

"Les produits bio sont-ils en train de s'effacer des rayons de supermarché, faute de clients  ?

Je l'ai constaté moi-même au rayon bio du supermarché : peu de gens le fréquentent, c'est un lieu quelque peu déserté.

 

Face aux prix qui augmentent, ces derniers mois, nombreux sont les acheteurs à y renoncer...

C'est regrettable car l'agriculture bio respectueuse de l'environnement devrait être la préférée des consommateurs...

 

"On va vers le moins cher, vu que maintenant c'est dur... on n'a plus le budget qu'on avait avant. On fait attention à tout, maintenant." explique une cliente.

"C'est trop cher, c'est inabordable..."commente une autre...

"C'est vrai que là on regarde un peu les prix qui sont bas tarif, et ce serait bien qu'il y ait un effort sur les prix du bio..." déclare une autre encore.

 

Depuis le début de l'année, les ventes de produits bio en grande surface ont chuté : moins 7,8%, une tendance aux lourdes conséquences pour les producteurs qui fournissent les grandes surfaces.

 

Sur son exploitation en Bretagne, Ludovic Caresmel, maraîcher bio, a vu ses commandes s'effondrer. Presque toutes ses cultures de mâches sont en train de pourrir en plein champ et doivent être détruites.

Au total, 15% de son chiffre d'affaires en moins.

Une crise du bio dont la hausse des prix ne serait pas la seule raison...

 

 Dans une lettre ouverte, trois fédérations de producteurs bio accusent la grande distribution de "se désengager du marché bio". Les enseignes assurent toujours acheter autant de bio, mais s'adapter à la demande des clients. 

 

"Les distributeurs ne sont pas des philanthropes, ils cherchent à vendre ce que le consommateur veut. En ce moment, en France, le bio se vend moins bien. Donc, les distributeurs le mettent moins en avant." dit un expert de la grande distribution.

 

Des produits qui subiraient aussi la concurrence d'autres labels comme Zéro résidu de pesticides ou Haute valeur environnementale qui sont moins exigeants à produire et surtout moins chers."

 

C'est vraiment inquiétant car le bio respectueux de l'environnement doit être préservé pour le bien de notre planète. C'est là un enjeu majeur...

 

 

Source :

https://www.francetvinfo.fr/economie/inflation/inflation-dans-les-supermarches-les-clients-delaissent-les-produits-bio_5513658.html

 

 

 

La filière bio menacée...
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30 janvier 2023 1 30 /01 /janvier /2023 13:14
Ce jour-là, au supermarché...

Ce jour-là, c'est grande foule au supermarché... jour de soldes, les gens se pressent pour faire de bonnes affaires...

 

Sur le parking, je récupère un caddie : là, un homme tout sourire s'avance vers moi et me dit : "J'ai perdu ma voiture, je ne sais plus où elle est !" et je le vois ensuite chercher activement dans les allées son véhicule...

Face à l'immensité du parking, si on ne repère pas bien sa place, on peut ne plus savoir où on a garé sa voiture...

C'est là un inconvénient de la modernité...

 

Aussitôt, me revient en mémoire un extrait de l'incipit du roman de Michel Houellebecq Extension du domaine de la lutte : le personnage narrateur ne retrouve plus sa voiture, il ne sait plus dans quelle rue il a pu la garer : 

"Le surlendemain était un dimanche. Je suis retourné dans le quartier, mais ma voiture est restée introuvable. En fait, je ne me souvenais plus où je l'avais garée ; toutes les rues me paraissaient convenir, aussi bien. La rue Marcel-Sembat, Marcel Dassault... beaucoup de Marcel. Des immeubles rectangulaires, où vivent les gens. Violente impression d'identité. Mais où était ma voiture ?
Déambulant entre ces Marcel, je fus progressivement envahi par une certaine lassitude à l'égard des voitures, et des choses de ce monde. Depuis son achat, ma Peugeot 104 ne m'avait causé que des tracas : réparations multiples et peu compréhensibles, accrochages légers... Bien sûr les conducteurs adverses feignent la décontraction, sortent leur formulaire de constat amiable, disent : « OK d'accord » ; mais au fond ils vous jettent des regards pleins de haine ; c'est très déplaisant."

Ainsi, la voiture, à l'origine instrument de liberté, est devenue un vecteur d'aliénation et de soucis dans le monde moderne.
 

Je fais donc mes courses et je me présente à une caisse : devant moi, une jeune femme qui déballe sa marchandise, puis sort de son sac une multitude de petits papiers, ce sont des bons de réduction... bons de 60 centimes, de 50 centimes, de 30 centimes, et aussi un bon de 10 euros...

 

Face à l'inflation galopante, ces bons sont vraiment bienvenus... chacun essaie de s'adapter à l'augmentation des prix alimentaires... les gens ont des difficultés à se nourrir, à assurer leurs dépenses les plus ordinaires... et le recours à ces bons peut être une solution.

Encore un souci de notre monde : comment survivre dans une société où les prix s'affolent ?

 

C'est mon tour de déballer mes courses et de payer, mais la caissière repère une boîte de sardines qui s'est ouverte. Je lui demande alors si je peux aller en chercher une autre dans les rayons, elle accepte aimablement.

Je me précipite dans le supermarché pour remplacer la boîte, je cherche dans les rayons et je trouve enfin mon bonheur...

 

Je retourne à la caisse et là, je fais face à des critiques, des regards de colère de la part de deux autres clientes qui attendent à la caisse, après moi... elles me fusillent du regard et montrent leur impatience.

Elles sont furieuses de devoir attendre un peu plus leur tour...

 

Voilà encore un effet de la modernité : tout doit aller vite ! Et on en perd même toute courtoisie et toute sociabilité...

 

 

 

Ce jour-là, au supermarché...
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16 janvier 2023 1 16 /01 /janvier /2023 13:11
Producteurs de pommes en difficulté...

 

Après les boulangers menacés de fermeture par l'inflation et la flambée des prix de l'énergie, les paysans, les arboriculteurs eux aussi se voient contraints d'arrêter leur activité qui n'est plus rentable.

Toute notre agriculture est ainsi au bord du gouffre.

 

"Des pommiers arrachés à la pelleteuse dans le Tarn, d'autres tronçonnés à la chaîne près de Limoges, des vergers condamnés et des producteurs qui jettent l'éponge, acculés par la flambée des prix.

"C'était pas le but du tout, j'aurais préféré le transmettre soit à mes enfants ou à un collègue, mais en arriver là, être obligé de les faire brûler, parce que la rentabilité n'y est plus du tout, c'est quand même dramatique.", déclare Rémi Gibaud, arboriculteur en Haute-Vienne.

Emballage, main d'oeuvre, électricité : des charges qui explosent sans être répercutées sur les prix, selon ces producteurs.

Une crise de trop pour ces pommiculteurs, mobilisés à Angers, pour une opération étiquetage dans une grande surface. Ils demandent à la grande distribution de les payer 20 centimes de plus par kilo pour survivre.

 

"On en veut à la grande distribution, aujourd'hui ils font la sourde oreille, demain, c'est la mort du verger français...", dit Sébastien Hudin, arboriculteur en Indre-et-Loire.

Des actions de producteurs un peu partout en France...

 

Et des consommateurs qui affichent leur soutien.

"On a tout ce qu'il faut en France : on va chercher ailleurs, c'est ridicule.", déclare une cliente.

"On devrait être capable nous aussi de faire des efforts pour les aider quand on va faire nos courses." commente un autre client.

 

Mais une augmentation des prix est-elle vraiment possible ?

Pas si sûr, alors que la pomme française est déjà beaucoup plus chère que celle de ses concurrents étrangers.

"Le kilo de pommes golden que tout le monde connaît est à environ 1,50 euro en moyenne en France chez les grossistes, il est en Italie à 1,20 euro, en Allemagne, 1 euro et en Pologne, moins de 1 euro. Mais avec l'inflation en plus, cela devient inatteignable. Parfois, le consommateur va se détourner." explique Laurent Plantevin, expert en négociations commerciales...

Une menace pour toute une filière : ces 20 dernières années, près de la moitié des vergers français a déjà disparu."

 

Ainsi, notre agriculture, déjà en péril depuis des années, risque de disparaître...

Et combien d'autres secteurs sont aussi impactés par l'inflation ?

 

 

Source :

https://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/metiers/agriculture/inflation-l-appel-a-l-aide-des-producteurs-de-pommes-qui-reclament-le-soutien-de-la-grande-distribution_5602865.html

 

Producteurs de pommes en difficulté...
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14 décembre 2022 3 14 /12 /décembre /2022 10:40
Retraites : fausses promesses de Macron ?

 

"Quels sont les retraités qui bénéficieront d'une pension minimum revalorisée ?

Selon les derniers arbitrages, les retraités actuels n'y auraient pas droit...

 Ce serait le cas de Daniel Soudais : après une carrière complète dans le bâtiment, ce Havrais perçoit moins de mille euros de pension, chaque mois. Voici son témoignage :

"Tous les mois, je touche 988 euros et il est bien évident que c'est un peu juste avec les frais, les factures, maintenant, avec l'inflation, tout le monde court après son argent."

988 euros par mois ! Comment peut-on vivre décemment avec une si maigre retraite ? L'inflation vient aggraver la situation de ces petits retraités qui ont pourtant travaillé toute leur vie...

 

Daniel Soudais ne bénéficierait donc pas d'une augmentation de sa retraite. Difficile à comprendre !

"On a travaillé toute notre vie, mais enfin, on l'a pas volé cet argent là ! Pourquoi d'autres auraient plus que nous ? Pour toucher, il faut être pauvre de combien ?" déclare ce retraité.

 

Une revalorisation pour tous les retraités : c'était pourtant une promesse du candidat Macron.

"Je le porte à 1100 euros, y compris pour les retraités actuels. Donc, quelqu'un qui nous écoute aujourd'hui qui est à 990 euros qui a eu une carrière complète, qui a travaillé toute sa vie au SMIC, je souhaite qu'on puisse le monter à 1100 euros", affirmait Macron en avril 2022.

Neuf mois plus tard, le ministre en charge de la réforme tient un autre discours... seuls les futurs retraités seraient concernés.

"L'engagement qu'a pris le Président de la République, c'est pour les nouveaux retraités. C'est pour dire que les retraités, lorsqu'ils font valoir leur droit à la retraite puissent être assurés d'avoir une retraite minimum..."déclare en décembre 2022 le ministre du travail Olivier Dussopt.

Une pension minimum aujourd'hui à 75% du Smic, que le gouvernement veut porter à 85% soit environ 1200 euros par mois en 2023.

Appliquée à tous les retraités, la mesure serait coûteuse, autour de 2 milliards d'euros...

 

Pour la CGT, exclure une partie des retraités est inacceptable.... d'autant plus inacceptable qu'Emmanuel Macron avait annoncé les inclure dans cette revalorisation.

"Ce n'est plus une mesure sociale, mais de toutes façons, dès le départ, c'était une fausse annonce. Elle ne peut pas se réaliser à partir du moment où le gouvernement cherche avant tout à faire des économies sur le dos des actifs et des retraités", déclare Catherine Perret, secrétaire confédérale de la CGT.

Le gouvernement rendra ses arbitrages le 10 janvier prochain."

 

Ainsi, l'annonce des grandes lignes de la réforme des retraites est décalée au 10 janvier prochain. Un report surprise d'une réforme dont les détails devaient être annoncés le 15 décembre...

Pourquoi ce report ? Une raison sportive d'abord ? Le calendrier n'était plus le bon avec la Coupe du Monde de football... si la France gagne, ils ne veulent pas casser l'ambiance.

Et puis, les gens n'allaient parler que de ça pendant les repas de Noël... l'annonce de cette réforme aurait été aussi une façon de gâcher les fêtes de Noël et de fin d'année...

De fait, 6 Français sur 10 s'opposent à cette réforme des retraites qui prévoit aussi un report de l'âge de la retraite à 65 ans.

Les mauvaises nouvelles arriveront donc en début d'année, après les fêtes... inflation, coupures d'électricité, recul de l'âge de la retraite...

 

 

Sources :

https://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/carriere/vie-professionnelle/retraite/retraites-tous-les-retraites-ne-beneficieront-pas-de-la-revalorisation-de-leur-pension_5540700.html

 

https://www.francetvinfo.fr/economie/retraite/reforme-des-retraites/reforme-des-retraites-les-coulisses-du-report-surprise-des-annonces_5540703.html

 

https://tv.marianne.net/focus/retraites-sauver-le-systeme-l-argument?autoplay=true

 

Retraites : fausses promesses de Macron ?
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25 novembre 2022 5 25 /11 /novembre /2022 13:12
Une inflation qui aggrave les inégalités...

 

La guerre en Ukraine a fait remonter à la surface un mot inquiétant que l’on croyait disparu de notre vocabulaire : l’inflation est de retour. À en croire les économistes, cette flambée des prix pourrait s’installer durablement, nourrie par les trois grandes crises de notre temps (sanitaire, écologique et militaire). Ces maux de notre société ont mis en lumière des interdépendances qui désormais nous mettent en danger. 

"Se nourrir devient problématique pour de nombreuses familles : les prix poursuivent leur envolée...plus 13, 9% à la caisse...

C'est le troisième mois consécutif avec une hausse à deux chiffres.

 

Plus 0, 2 % en novembre 2021, près de 14 aujourd'hui. Une flambée des prix qui s'invite à table, même avec un repas simple.

Commençons par l'entrée : la salade, + 9,5% pour celles vendues en sachets. Pour l'assaisonnement, mieux vaut ne pas avoir la main lourde : plus de 41 % d'augmentation sur l'huile d'olive premier prix.

La cause : les tarifs du verre et de l'emballage qui grimpent.

 

Au moment du plat, pas mieux : le prix du steak haché surgelé flambe... plus 30,8%. Si vous l'accompagnez de pâtes, presque 27% de hausse sur les marques ou de haricots en conserve : plus 20,3%.

 

La pizza surgelée de marque coûte 11,6 % de plus qu'il y a un an.

Les effets énergétiques, les effets de coût de l'électricité sur le stockage de ces produits vont agir fortement et impacter le prix en magasin.

 

Une inflation qui se confirme au dessert : plus 14% pour les yaourts, et plus 15,7% pour le café.

Ce mois-ci encore, l'ensemble des produits alimentaires est en hausse.

 

Avec les négociations commerciales entre fabricants et distributeurs de ces prochains mois, la facture devrait poursuivre son envolée..."

Avec de tels prix, on imagine les difficultés des familles modestes. Comment faire face à toutes les dépenses ? Factures de chauffage, d'électricité, de gaz qui explosent...

"Certains Français renoncent à allumer le chauffage pour économiser et retardent au maximum la mise en marche des radiateurs. Cette résolution n’est pas facile à tenir alors que la température baisse.

Pour économiser, beaucoup de consommateurs renoncent à allumer le chauffage. Chez certaines personnes, il n’y a quasiment pas d’écart de température entre l’intérieur et l’extérieur. "Entre 12 et 13 degrés, ça, c’est dans toutes les pièces qui sont au nord", décrit Anne-Marie Comas, propriétaire d’un appartement. 

Pour ne pas avoir froid, les habitants portent des vêtements chauds et des pulls supplémentaires. D’autres font fonctionner des poêles à bois certains moments de la journée."

Ainsi, la crise énergétique révèle et creuse les inégalités : les gens les plus modestes sont fortement impactés par cette inflation galopante. Se nourrir, se chauffer, ces besoins élémentaires ne sont plus assurés.

 

 

Sources :

 

https://www.francetvinfo.fr/economie/inflation/inflation-les-prix-des-repas-continuent-de-s-envoler-dans-les-supermarches_5496669.html

 

 

https://www.francetvinfo.fr/economie/energie/crise-energetique-ces-francais-qui-renoncent-a-se-chauffer_5496600.html

 

Une inflation qui aggrave les inégalités...
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