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18 février 2019 1 18 /02 /février /2019 12:10
Mais ça existe encore ?

 

 

Des portraits de Simone Veil honteusement tagués de croix gammées, des quenelles, des insultes racistes adressées à Alain Finkielkraut, des devantures de magasins souillées d'inscriptions "juden", cela se passe en France, de nos jours, en 2019.

Voilà qui rappelle les heures les plus sombres de notre histoire...

 

Alors, on se dit : "La bête immonde revient... ça existe encore ?"

C'est comme si on effaçait l'histoire terrible du XXème siècle, c'est comme si on oubliait l'horreur des camps de concentration, tant d'abominations, tant de crimes et d'abjections.

 

"Barre-toi, sale sioniste de merde!, Tu vas mourir, Sale race, Grosse merde, Palestine!, Rentre chez toi à Tel-Aviv!", "Elle est à nous, la France!", crie un jeune homme barbu en agitant ostensiblement son keffieh palestinien. "Nous sommes le peuple!", renchérissent d'autres gilets jaunes.

Le philosophe et académicien a été injurié et sifflé ce samedi en marge de la manifestation des gilets jaunes dans le quartier de Montparnasse à Paris. 

Tant de haine ! Tant de mépris ! Tant d'insultes !

La contestation aurait-elle cédé la place à la détestation ?

 

Les gilets jaunes portent de justes revendications, quand ils dénoncent la baisse du pouvoir d'achat, les inégalités, les salaires insuffisants, les retraites misérables de certains, mais ils devraient aussi dénoncer avec la plus grande sévérité ces manifestations d'intolérance, ce racisme qui ressurgit dans leur rang.

 

Honte à ceux qui insultent, rabaissent, méprisent ! Honte à ceux qui se livrent à ces débordements de haine !

Ce sont là des réactions primaires...  bien sûr, on peut être en désaccord avec la pensée et les positions d’Alain Finkielkraut et le critiquer ; on peut défendre la cause palestinienne,  mais l’insulte n'est pas admissible.

Elle est d'autant moins admissible quand c'est une foule haineuse qui s'en prend à un homme de 70 ans, à un philosophe, un écrivain.

L'insulte discrédite ceux qui l'utilisent, elle est l'arme des faibles.

 

On se souvient aussi de l'éviction d'Alain Finkielkraut lors des débats organisés par Nuit Debout : des insultes avaient alors fusé à son encontre, un participant avait craché dans sa direction.

Certains allaient jusqu'à imaginer qu'il s'agissait  d'un "coup monté" de la part d'Alain Finkielkraut, comme si le philosophe était lui-même coupable des invectives qu'il avait essuyées !

L'insulte ne peut, en aucun cas, servir d'arguments, l'insulte instinctive et primaire est scandaleuse.


L'insulte relève du réflexe et s'oppose à une véritable réflexion, si, en plus, elle s'accompagne de crachats, on atteint le comble de l'ignominie.

 

 

 

 

 

 

 

Mais ça existe encore ?
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14 janvier 2019 1 14 /01 /janvier /2019 11:25
Heureusement, on a Houellebecq...

 

Depuis des semaines, la France connaît des vagues de manifestations, régulièrement les gilets jaunes défilent dans les rues, contestent le pouvoir en place, revendiquent pour le pouvoir d'achat, pour plus d'équité et de justice.

Ces manifestations donnent lieu souvent à des exactions, des violences subies par les commerçants qui voient leurs vitrines brisées et leur activité fortement entravée.

L'économie du pays est en berne : les touristes hésitent à venir, les hôtels connaissent un déficit d'activité, face à ce déferlement de violences, face à ces manifestations qui ont tendance à dégénérer.

 

La France est à la peine, oui, mais voilà : heureusement, nous, on a  Houellebecq, un romancier de génie qui dépeint les réalités de notre temps avec acuité, humour, tendresse, ironie...

 

Et même l'Allemagne nous l'envie : il est une superstar dans ce pays.

100 000 exemplaires vendus en Allemagne en trois jours pour Soumission, son ouvrage paru  il y a 4 ans.

Michel Houellebecq fascine les Allemands surtout depuis l’énorme succès qu’a rencontré l’adaptation au cinéma en 2006 de son roman Les particules élémentaires, avec de très grands acteurs allemands. Il est aussi régulièrement adapté au théâtre. Il fait l’objet de cours à l’université, de recherches en littérature.

Un journaliste littéraire allemand  avait donné cette explication : "Les Allemands aiment ses provocations, son côté satirique, sarcastique, irrespectueux". 

 

Houellebecq a amorcé un renouveau en littérature : c'est un auteur atypique qui surprend, étonne, Houellebecq dépeint la déprime, la misère de l'homme moderne, mais il nous fait rire.

Et le rire est salvateur, bénéfique.

Houellebecq, c'est le miroir de notre époque.

 

Il est vrai que l'écrivain sait jouer de la provocation... et, ainsi, il fait parler de lui.

Il vient de publier Sérotonine, et la sortie de ce roman suscite enthousiasme, curiosité ainsi que de nombreux commentaires.

Déjà, c'est un succès de librairie, les exemplaires du roman s'arrachent...

Et malgré les héros désabusés qu'il nous présente, Houellebecq  nous incite aussi à l'optimisme... Son message est rempli d'espoir et d'humanisme.

J'aime le personnage et j'aime l'écrivain : un auteur qui étonne, qui surprend par son humour décalé, par ses références au monde moderne, un auteur qui vit dans son temps et qui se fait l'écho de notre époque...

 

 

 

 

 

https://youtu.be/koCGFfb_k70

 

Heureusement, on a Houellebecq...
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14 décembre 2018 5 14 /12 /décembre /2018 12:58
Gilets jaunes : la tentation totalitaire...

 

 

Les gilets jaunes portent de justes revendications, ils dénoncent des injustices flagrantes et intolérables dans une société qui se prétend égalitaire....

L'exploitation de la misère humaine, dans notre pays, en France, est inacceptable...

 

Pour autant, le recours à la violence est aussi condamnable : casser, piller, bloquer les routes, empêcher les gens de travailler et de vivre, non, ce n'est pas admissible.

Tous les citoyens vont devoir payer les dégâts, des artisans, des commerçants se retrouvent au chômage.

 

Le temps est venu de dialoguer, de porter des revendications : revalorisation des petits salaires, baisse des taxes, révision du système d'imposition...

Le recours à la violence conduit au pire : déjà 6 victimes et de nombreux blessés.

Le recours à la violence, c'est inéluctablement la porte ouverte à un régime totalitaire.

 

Nous avons la chance de vivre dans un pays démocratique : nous avons le droit de nous exprimer, de revendiquer, de manifester.

Rien ne justifie de tout casser, de brûler des voitures, de piller des magasins, de caillasser des vitrines, de s'attaquer aux bien d'autrui.

Rien ne justifie le recours à la violence : c'est la pire des solutions.

On ne peut trouver des excuses à cette violence gratuite qui s'attaque à n'importe qui.

Les exactions, les violences nuisent au mouvement des gilets jaunes, c'est une certitude.

 

Certains réclament la démission du premier ministre ou du président de la République, ils veulent tout renverser, oubliant les institutions démocratiques de notre pays.

Certains imaginent de remplacer le premier ministre par un général !

 

Le temps est venu de la négociation, car le risque est grand de voir s'imposer le règne de la violence et de la tyrannie.

Des casseurs, des anarchistes, des fascistes, des voyous se mêlent aux manifestations, et c'est le désordre assuré.

Les gilets jaunes doivent condamner sans ambiguïté ces fauteurs de troubles.

 

Ils doivent aussi se montrer réalistes : on ne peut gouverner par le biais d'internet, on ne peut pas passer son temps à organiser des référendums.

Il convient, maintenant, de dialoguer avec le pouvoir en place, de porter des exigences, de négocier, puisque la porte est ouverte...

 

 

 

 

 

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7 décembre 2018 5 07 /12 /décembre /2018 11:22
Un curieux gilet jaune : Jean-François Barnaba...

 

Porte-parole des gilets jaunes, Jean-François Barnaba a été invité par de nombreux médias, il a participé à de nombreuses émissions de radio ou de télévision.

Or, ce porte-parole des Gilets jaunes est fonctionnaire sans activité depuis dix ans, et touche un salaire de 2 600 euros !

Payé avec de l'argent public à ne rien faire ! Elle est pas belle la vie ? !

 

Ce monsieur a donc effectivement beaucoup de temps à consacrer à des activités militantes, et dispose de nombreux loisirs pour s'impliquer dans le mouvement des gilets jaunes.

 

Mais comment peut-il représenter ce mouvement de contestation, lui qui est un privilégié de la fonction publique, lui qui perçoit un salaire conséquent pour ne rien faire ?

 

Je l'ai entendu s'exprimer à plusieurs reprises pour défendre le pouvoir d'achat, pour dénoncer les taxes sur les carburants, pour fustiger le pouvoir en place. Il est vrai que c'est un bon orateur, apte à débattre et à convaincre...

On comprend qu'il ait été désigné comme porte-parole.... Il en a les capacités.

Pour autant, comment ne pas s'étonner de sa situation ?

 

Ancien chef d'orchestre et directeur de conservatoire, il a ensuite été recruté par le département de l'Indre en 2001 en tant que conseiller technique musique.
Mais, le 31 décembre 2008, il a été licencié par le président du département de l'époque, Louis Pinton. Jean-François Barnaba aurait eu "des ambitions que nous estimions démesurées avec les moyens financiers du département", explique Serge Descout,  actuel président de la collectivité...

 

Dans tous les cas, ce fonctionnaire bien payé, parasite de la République, rémunéré par l'argent public ne peut représenter des gens qui ont des difficultés à boucler leur fin de mois.

Ce gilet jaune bien nourri, au visage épanoui, prétend même avoir souffert de sa "désocialisation" qui aurait été "une dure épreuve"...

Bon, il n'a pas l'air d'avoir vraiment souffert de cette situation "inconfortable".

 

Quelle honte ! Comment l'argent public peut-il être ainsi dilapidé pour nourrir des gens à ne rien faire ?

Le système est vicié : comment ce personnage médiatisé à l'extrême, invité sur tous les plateaux de télévision, ose-t-il parler au nom des gilets jaunes, alors qu'il est un privilégié de la République ?

On imagine l'agacement des gens qui travaillent durement et qui sont bloqués sur les routes par des gilets jaunes dont un représentant notoire est payé, lui, à ne rien faire !

 

 

 

 

 

 

 

Un curieux gilet jaune : Jean-François Barnaba...
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5 décembre 2018 3 05 /12 /décembre /2018 13:02
Les grenouilles qui demandent un roi...

 

Il est utile de lire et relire les Fables de La Fontaine : elles sont pleines d'enseignements en ces temps où les contestations se multiplient... gilets jaunes, lycéens, routiers, paysans....

 

Fable pittoresque et vivante, ce texte intitulé Les grenouilles qui demandent un roi met en garde les peuples contre l’absence de réflexion et l’instinct grégaire, leur conseillant la prudence.

Les grenouilles capricieuses, versatiles en appellent un jour à Jupin, Jupiter pour changer de régime politique.

Tiens, Jupiter, cela vous dit quelque chose ?

 

Lasses de la démocratie, les grenouilles héritent alors d'un pouvoir monarchique, d'abord assez doux, puis tyrannique et cruel...

 

Bien sûr, la morale de cette fable est conservatrice : "il faut savoir se contenter de ce que l'on a... Ne pas aller trop loin dans les exigences..."

Bien sûr, notre régime démocratique comporte bien des défauts, qu'il convient de débusquer et de dénoncer, et nous avons encore la possibilité de le faire par des manifestations.

On a entendu un porte-parole des gilets jaunes réclamer "la démission du gouvernement" et la nomination du général de Villiers comme Premier ministre. Un militaire à la tête de l'Etat Français ??

On voit bien là se profiler un régime dictatorial...

 

Le mouvement des gilets jaunes a obtenu satisfaction sur de nombreux points.

Pour 70 % des Français, le report de la hausse du carburant justifie l'arrêt de la contestation.

D'autres revendications surgissent : celles des lycéens, des routiers, des petits paysans, elles méritent d'être entendues.

Mais, il convient de ne pas céder à la tentation du jusqu'au-boutisme  qui pourrait conduire au pire.

Il convient de savoir rester dans les limites du raisonnable...

La manifestation de samedi est maintenue à Paris : il faut craindre encore des débordements, des exactions, des saccages et des pillages.

Les casseurs, les radicaux vont s'inviter à ces débordements.

Qui paiera ? Qui souffrira encore de ces violences ? Quelles seront les victimes ?

 

J'invite tout le monde à relire et à méditer la fable : Les grenouilles qui demandent un roi...

 

 

 

Le texte :

 


 

"Les grenouilles se lassant
De l'état démocratique,
Par leurs clameurs firent tant
Que Jupin les soumit au pouvoir monarchique.
Il leur tomba du ciel un roi tout pacifique :
Ce roi fit toutefois un tel bruit en tombant,
Que la gent marécageuse,
Gent fort sotte et fort peureuse,
S'alla cacher sous les eaux,
Dans les joncs, les roseaux,
Dans les trous du marécage,
Sans oser de longtemps regarder au visage
Celui qu'elles croyaient être un géant nouveau.
Or c'était un soliveau,
De qui la gravité fit peur à la première
Qui, de le voir s'aventurant,
Osa bien quitter sa tanière.
Elle approcha, mais en tremblant ;
Une autre la suivit, une autre en fit autant :
Il en vint une fourmilière ;
Et leur troupe à la fin se rendit familière
Jusqu'à sauter sur l'épaule du roi.
Le bon sire le souffre et se tient toujours coi.
Jupin en a bientôt la cervelle rompue :
« Donnez-nous, dit ce peuple, un roi qui se remue. »
Le monarque des dieux leur envoie une grue,
Qui les croque, qui les tue,
Qui les gobe à son plaisir ;
Et grenouilles de se plaindre.
Et Jupin de leur dire :« Eh quoi ? votre désir
A ses lois croit-il nous astreindre ?
Vous avez dû premièrement
Garder votre gouvernement ;
Mais, ne l'ayant pas fait, il vous devait suffire
Que votre premier roi fut débonnaire et doux
De celui-ci contentez-vous,
De peur d'en rencontrer un pire."

Jean de La Fontaine, Fables
 

 

 

 

 

 

Les grenouilles qui demandent un roi...
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3 décembre 2018 1 03 /12 /décembre /2018 13:06
Le droit de casser ?

 

 

Paris incendié, des voitures brûlées, des vitrines caillassées, des magasins pillés, l'Arc de Triomphe saccagé, des scènes d'émeutes, des blessés... des groupes de casseurs sont venus troubler les manifestations des gilets jaunes.

Triste spectacle ! Des laissés pour compte, des délinquants ont revêtu le gilet jaune et se sont mêlés aux manifestants.

 

La violence de ces casseurs a atteint des sommets : on imagine le désarroi de ceux qui ont vu leur voiture incendiée, leur magasin pillé.

La désespérance est grande mais rien ne justifie que l'on s'attaque aux biens d'autrui, que l'on détruise à tort et à travers le mobilier urbain, ou que l'on pille des vitrines.

 

Les voyous sont à l'oeuvre, ceux qui vivent de trafics, ceux qui profitent de manifestations pour se remplir les poches.

L'occasion est trop bonne ! Revêtir un gilet jaune, se fondre dans la foule pour se livrer à des exactions, en toute impunité ou presque.

Le droit de casser, le droit de piller ?

Non, ce n'est pas acceptable.

Les gilets jaunes eux-mêmes condamnent cette violence exacerbée, ils doivent le faire avec la plus grande fermeté.

Mais rien n'empêchera les casseurs, les fauteurs de troubles, les extrémistes de venir s'immiscer dans les manifestations, comme c'est désormais le cas, le plus souvent.

Le droit de casser, le droit de voler, le droit de tout détruire ? Non, c'est intolérable.

 

Dans les établissements scolaires, certains élèves s'octroient aussi le droit de bavarder, d'arriver en cours sans leurs affaires, de ne pas faire le travail demandé, parfois d'insulter, de tutoyer les enseignants.

Plus de retenue, plus de respect...

L'essentiel est de contester l'ordre établi, pour s'affranchir de toutes contraintes, pour se libérer de toutes entraves à la liberté.

 

Lorsque, dès l'enfance, dès l'adolescence, des règles strictes ne sont pas instaurées, le risque est grand que des habitudes d'incivilité se perpétuent.

Ainsi, l'incivilité est partout, l'individualisme règne en maître dans nos sociétés.

"Mon plaisir, mon bonheur, avant tout."

Peu importe si l'on écrase l'autre... Dans les immeubles, les voisins sont indifférents aux autres, sur la route, c'est souvent la loi de la jungle, au travail, c'est pareil.

Le mouvement des gilets jaunes, lui, se veut fédérateur et solidaire : il faut souhaiter qu'il le reste, et qu'il ne soit pas dévoyé.

Il faut souhaiter que la solidarité prime enfin !

 

 

 

 

 

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17 novembre 2018 6 17 /11 /novembre /2018 13:14
Gilets jaunes : déjà une victime décédée...

 

Une femme d’une cinquantaine d’années qui manifestait en Savoie, est décédée après avoir été percutée par une voiture. Une automobiliste aurait accidentellement foncé dans le barrage, organisé par les « gilets jaunes » et non déclaré.

 

La conductrice emmenait son fils chez le médecin, elle a été prise de panique quand les manifestants se sont mis à taper sur sa voiture et a foncé sur eux, heurtant une femme, a indiqué le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner. 

 

On dénombre aussi plusieurs blessés, des accrochages, des tensions entre les manifestants et les automobilistes... A Arras, une personne est en état d'urgence absolue.

 

1000 rassemblements, de nombreux manifestants, un mouvement de colère qui est en train de dégénérer car les manifestations ne sont pas encadrées.

Les gilets jaunes ont bien sûr le droit d'exprimer leur désarroi, mais il est inadmissible de bloquer des gens sur la route.

 

Libre à eux de manifester, mais dans le respect du droit de chacun...

Inévitablement, les accidents risquent de se multiplier.

"Les barrages doivent être filtrants et non bloquants", affirme aujourd'hui une des initiatrices de ce mouvement. 

 

Mais, j'ai vu des affiches où il était vraiment question de bloquer le pays.

Un tel mouvement paraît incontrôlable.

Les gens qui se rendent chez un médecin doivent avoir le droit de circuler, les gens qui, après une semaine de travail, vont faire leurs courses ont le droit de circuler.

La sécurité est en cause.

 

Si l'opinion soutient le mouvement des gilets jaunes, il faut craindre que les débordements et les accidents desservent leur cause.

Encore une fois, ce sont des gens modestes qui sont pénalisés ! Les gilets jaunes s'attaquent à des automobilistes comme vous et moi.

 

Aimeriez-vous être bloqués sur la route, en cas de situation d'urgence ?

Les manifestations continuent en Savoie, malgré la mort d'une femme. Jusqu'où ira ce mouvement ?

 

 

 

 

 

 

 

Gilets jaunes : déjà une victime décédée...
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