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9 septembre 2019 1 09 /09 /septembre /2019 12:15
La barbe !

 

La barbe est à la mode... de plus en plus d'hommes jeunes ou moins jeunes portent la barbe...

92 % des hommes de 25 à 34 ans se font pousser la barbe.

 

Pourtant, pendant de nombreuses années, la barbe n'était plus à l'honneur. Elle était un signe de vieillesse, de négligence.

Mais, elle revient, désormais, en force...

Affirmation de virilité, d'autorité, de maturité, phénomène de mode ? C'est possible.

 

En tous cas, la barbe exige un entretien régulier : les hommes vont souvent chez le coiffeur pour se faire tailler la barbe et en prendre soin. 

Il faut voir comme ils se font bichonner la barbe avec des onguents, des huiles, des shampoings spéciaux...

 

Il est vrai que la barbe, en cachant certaines parties du visage, peut masquer certains défauts : un menton fuyant, des joues pendantes.

Mais est-elle vraiment esthétique ?

Sombre, elle a tendance à durcir les traits, grise, ou blanche, elle donne un coup de vieux...

 

Une barbe exige aussi des soins constants : elle doit être lavée, hydratée, brossée ! Bref, ce n'est pas une sinécure...

 

On voit bien que c'est une question de mode : on vit dans une société de consommation...

Et pour entretenir une barbe, il faut utiliser toutes sortes de produits, il faut aussi aller chez le coiffeur pour la faire tailler sur mesure...

 

Pour ma part, je ne suis pas fan de la barbe et je ne trouve pas que les barbus soient plus particulièrement attirants et séduisants.

Un visage bien rasé, net, c'est sympa, c'est clair.

 

Messieurs, ne cédez pas à cette mode de la barbe ! Trop de barbes tuent la barbe ! La barbe est trop tendance, elle se banalise. On voit de plus en plus de barbus !

 

On aimerait que les hommes ne cèdent pas si facilement à cette tendance de la mode...

La barbe des barbus !

 

 

 

 

 

La barbe !
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8 septembre 2019 7 08 /09 /septembre /2019 13:53
Ciel doré d'un soir d'été...

 

 

 

Une auréole dorée au couchant : le ciel se nimbe d'éclats étincelants....

 

 

Tout autour, des nuances de roses empourprés...

 

 

Dans le lointain, les arbres dessinent leurs silhouettes sombres : cyprès élancés, rondeurs de pins, hérissements de branches...

 

 

Eclairés par le couchant, les arbres deviennent ombres chinoises...

 

 

En hauteur, quelques nuées vaporeuses flottent dans l'air du soir : grises, festonnées de rose, elles couronnent la scène...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Photos : rosemar

Ciel doré d'un soir d'été...
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6 septembre 2019 5 06 /09 /septembre /2019 13:48
Un somptueux récital de piano avec Brice Martin...

 

 

Il s'appelle Brice Martin, "il est né en 1981 et a commencé l'étude du piano à l'âge de 5 ans. Il donne son premier concert à l'âge de 14 ans et entre à la même époque au conservatoire de Nîmes. Il obtient en 1999 une médaille d'or de piano ainsi qu'un premier prix de musique de chambre. A la même époque, il débute ses études de médecine à Nîmes. Parallèlement à sa formation médicale (il se spécialise ensuite en psychiatrie à Paris), il continue à nourrir sa passion pour le piano qui lui permet de remporter, en 2004, le troisième prix du concours des grands amateurs de Paris. Depuis, il se produit régulièrement, en particulier avec les "grands amateurs" dans le cadre de Pianestival. Il a notamment joué à Paris, Nice, Shanghai et Budapest. Brice Martin réside actuellement à Valence, et exerce en tant que psychiatre à Lyon, au centre hospitalier du Vinatier, dans une unité dédiée à la réhabilitation de patients atteint de pathologie mentale."

 

Brice Martin arrive sur la scène, avec son physique d'adolescent, il se met au piano, et il joue Rêve d'amour de Franz Liszt... 

Et, aussitôt, la magie opère... le jeune musicien nous embarque dans cette mélodie romantique à souhait.

Les notes se déroulent avec harmonie et tendresse... le musicien nous emporte dans un univers de rêve et de beauté. Comment ne pas être sous le charme ?

 

Puis, il nous présente les extraits suivants : Le Roi des Aulnes de Franz Schubert, d'après un poème de Goethe. Différents personnages sont mis en scène... Un père à cheval avec son enfant malade et délirant, il fuit à travers la forêt... il rassure son fils qui a peur, car il vient d'apercevoir le Roi des Aulnes, avec sa couronne et ses longs cheveux... 

 

Les différents personnages sont illustrés par des thèmes musicaux différents que nous fait entendre le musicien, avant de jouer les extraits.

Ainsi, le musicien se fait aussi pédagogue... et il déclare modestement : "Je vais essayer de jouer ce morceau..."

 

Puis, on écoute la mélodie tantôt sombre et ténébreuse quand l'enfant exprime ses inquiétudes, tantôt adoucie quand le Roi de Aulnes essaie de séduire l'enfant et de l'attirer vers lui....

Somptueuse mélodie ! Somptueuse interprétation !

Le musicien est alors applaudi longuement par l'assistance.

 

Il se lance ensuite dans une interprétation époustouflante de différentes études du compositeur Alexandre Scriabine, successivement Etude, op. 8 n° 3, n° 11, Etude op. 42 n° 5, puis Vers la Flamme, op. 72.

Quelle virtuosité ! Les doigts du musicien courent avec agilité sur le piano... on est ébloui par le jeu du virtuose, sa dextérité, sa sensibilité.

On peut encore s'émerveiller à l'écoute du Köln Concert, part II C de Keith Jarrett : une musique rythmée et fluide qui nous enchante.

 

Le récital s'achève avec un morceau de Erroll Garner : I' ll remember April. Du jazz, du rythme encore qui nous entraîne dans un tourbillon étourdissant de notes...

 

Bravo à Brice Martin pour ce récital éclectique et somptueux. Bravo pour ce moment de rêve et d'émerveillement...

 

Ce récital a été donné au Carré d'Art, dans le cadre des Jeudis de Nîmes...

 

 

 

 

 

 

 

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4 septembre 2019 3 04 /09 /septembre /2019 10:49
Nouvelles découvertes passionnantes près du rempart romain à Nîmes...

 

De nouvelles fouilles archéologiques effectuées au mois d'août sous la direction de Richard Pellé ont permis de mettre au jour encore de nombreuses sépultures d'enfants et de foetus sur la colline Montaury, au pied du rempart romain.

 

Les ossements d’enfants ont été retrouvés dans des coffrages en pierre ou des amphores, ce qui prouve un soin attentif accordé par les parents.

 

Un dépotoir a été aussi découvert : de nombreux éléments de vaisselle, pichets, couvercles, marmites, gourdes, gobelets, toute la panoplie, nous dit Richard Pellé.

 

Sur la zone, d’autres sépultures ont été retrouvées dont les ossements d’une femme portant bijoux et chaussures et qui reste un mystère pour les archéologues. 

La personne portait des éléments de parure, deux bagues à l'annulaire, l'une sur l'autre, un bracelet en fer, une autre bague, des chaussures dont est conservée la forme des semelles.

Une des bagues est probablement orné d'un décor qui sera révélé après nettoyage.

On a trouvé aussi deux petits anneaux qui pouvaient être une parure pour les cheveux.

Il est rare de trouver ainsi autant d'éléments de parure.

Elle avait une main plaquée contre le visage, une autre sur le ventre, on ignore quel était le statut de cette femme.

Le mystère reste entier : la suite des investigations dévoilera peut-être un peu plus son identité et son statut...

 

J'ai pu, comme chaque année, accéder au chantier de fouilles et voir le travail patient et minutieux des archéologues... dur labeur ! Ils travaillent sous un soleil accablant, remuant et déplaçant des pierres, ils oeuvrent avec la plus grande minutie, quadrillant le terrain...

 

Ils travaillent à la truelle, au pinceau, afin de dégager ces vestiges précieux venus du passé...

Il faut les voir accroupis sur le sol, dans la poussière en train de gratter la terre avec soin, et précaution...

 

Les ossements, les objets découverts vont être maintenant étudiés, datés avec précision...

Le travail archéologique se poursuit mais les fouilles ne seront probablement pas reconduites l'année prochaine... 

Dommage car le terrain recèle probablement encore d'autres trésors enfouis.

 

 

 

 

 

Nouvelles découvertes passionnantes près du rempart romain à Nîmes...
Nouvelles découvertes passionnantes près du rempart romain à Nîmes...
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2 septembre 2019 1 02 /09 /septembre /2019 12:08
L'art perdu de la description...

 

 

L'attention n'est plus au coeur de l'école : elle se disperse, elle se délite de plus en plus. Les élèves ne savent plus se concentrer, écouter, être attentifs. 

Or, "la formation de la faculté d'attention est le but véritable et presque l'unique intérêt des études..." a fort justement écrit Simone Veil.

 

Quand on n'écoute pas l'autre, quand on ne porte plus attention au monde, on perd le contact, on perd l'essence du monde.

"On ne peut pas conserver la nature, sans l'identifier, sans la décrire... il est inconcevable de pouvoir conserver quelque chose que l'on ne nomme pas, que l'on ne connaît pas..."

 

Et pour décrire, il convient d'être particulièrement attentif...

Dans un monde de l'action, de la performance, la description n'est plus à la mode...

 

Qui connaît les noms des oiseaux, des arbres, des fleurs, des insectes innombrables qui peuplent encore notre terre ? peut-être pour peu de temps encore...

Des mots qui se perdent, du vocabulaire qui disparaît...

 

Pourtant, il fut un temps où des scientifiques, des naturalistes, des écrivains, des poètes s'attachaient à faire des descriptions très fines et très belles des êtres de la nature.

Bernardin de Saint-Pierre, Humboldt, Wallace, Ponge savaient décrire dans le détail l'arbre, la plante, l'oiseau.

La liane, le papillon, le coléoptère, l'oiseau, l'abeille... qui les décrit, dorénavant ?

 

"Le syrphe, la prêle, le chabot nous sont devenus étrangers..." écrit Romain Bertrand, dans son ouvrage intitulé Le détail du Monde...

Il est vrai que pour la plupart, nous vivons dans des villes où la nature s'efface.

 

"Le syrphe" ! Vous connaissez ? "Le chabot" ? Mais qu'est-ce que c'est ?

Voilà des noms étranges dont on a perdu l'usage...

Ces espèces vont peut-être disparaître et nous n'en garderons plus que le nom.

 

Prendre soin du monde, c'est d'abord le connaître et le nommer...

 

Il nous faut réapprendre à porter attention au monde, à écouter le chant des oiseaux, à observer les couleurs des paysages, les formes des arbres, des herbes, des fleurs...

L'apprentissage de l'attention devrait être une priorité dès le plus jeune âge : apprendre à voir, à observer, à écouter.

 

 

 

 

Source : 

 

https://www.franceculture.fr/emissions/repliques/le-chant-du-monde

 

 

L'art perdu de la description...
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1 septembre 2019 7 01 /09 /septembre /2019 14:08
Déjà des bouquets de rouille...

 

 

 

Déjà des bouquets de rouille dans le jardin, déjà des panaches roux qui s'emparent des arbres...

 

 

Des éclats nouveaux côtoient le vert, des bruns brûlés, des grenats, des brumes de xanthe...

 

 

Près du marbre des statues, soudain, un éclair roux qui annonce l'automne.

 

 

Les feuilles déroulent des teintes somptueuses, elles se parent d'éclats mordorés...

 

 

Au fil des jours, les panaches se multiplient... Au fil des jours, des brouées de roux s'épanouissent et envahissent le jardin...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Photos : rosemar

Déjà des bouquets de rouille...
Déjà des bouquets de rouille...
Déjà des bouquets de rouille...
Déjà des bouquets de rouille...
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30 août 2019 5 30 /08 /août /2019 12:41
Des secrétaires devenues des robots...

 

 

Ce jour-là, consultation chez un médecin rhumatologue : le cabinet regroupe 7 spécialistes.

J'entre et je découvre deux secrétaires affublées d'écouteurs et de micros, ce qui leur évite de prendre en mains le téléphone.

 

Je donne mon nom, mon heure de rendez-vous, et en consultant internet, une des deux secrétaires énumère mon adresse, mon numéro de portable, le nom de mon médecin traitant. Je confirme tous ces renseignements.

Tout cela, dans une ambiance glaciale et sans un sourire...

 

On me réclame, alors, ma carte vitale. Je la donne et on m'invite à aller attendre mon tour dans une salle voisine.

Dans la salle d'attente, plusieurs patients attendent leur tour : à côté, les deux secrétaires continuent à recevoir les patients selon le même rituel.

 

Tout cela ponctué par des appels téléphoniques pour des prises de rendez-vous.

On a l'impression d'être non pas dans un cabinet médical, mais plutôt dans une usine.

 

Tout est déshumanisé, automatisé.

Ces secrétaires deviennent des robots...

 

Et le médecin lui-même qui appelle les malades à tour de rôle, suivant leur ordre d'arrivée, n'aura bientôt plus guère le temps de communiquer avec ses patients.

Ainsi, la robotisation est partout, même là où l'attend le moins : la médecine doit rester un domaine où la relation de confiance, où la communication sont essentielles...

 

De plus en plus, le monde s'accélère et on ne prend plus le temps d'un simple sourire, d'une parole bienveillante.

Après une heure d'attente, je suis enfin reçue par le médecin.

La consultation se déroule dans une ambiance plutôt conviviale mais elle reste superficielle : des réponses assez vagues aux questions posées, voire pas de réponse...

 

En sortant du cabinet, je dis haut et fort aux deux secrétaires  : "Merci beaucoup ! Bonne journée !" Pas de réponse... Les deux dames sont trop occupées pour me répondre, bien sûr...

 

On dit que les robots vont bientôt remplacer les êtres humains, mais dans les faits, ce sont déjà les êtres humains qui deviennent des robots.

Avec la numérisation du monde, tout est automatisé, cadré... et les relations humaines s'effacent peu à peu...

 

 

 

 

 

Des secrétaires devenues des robots...
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28 août 2019 3 28 /08 /août /2019 12:16
Une rentrée scolaire à hauts risques...

 

 

Cette nouvelle rentrée scolaire se place sous le signe des réformes : réformes du lycée, du Baccalauréat...

Des réformes qui posent problème, car, une fois de plus, elles sont initiées dans la précipitation : ainsi, il faut craindre des difficultés dans la mise en oeuvre de la réforme de la classe de première.

 

Les filières L, S, ES disparaissent au profit d'enseignements de spécialités, ce qui va générer une grande complexité dans les emplois du temps...

À la fin de l’année de seconde, les lycéens devront choisir trois enseignements de spécialités parmi douze : cela fait 220 combinaisons possibles. Aucun lycée n’en proposera autant !

 

Tous les lycéens, quels que soient leurs profils, seront regroupés dans des classes surchargées à 35 élèves.

 

De plus, des oeuvres obligatoires sont à nouveau instaurées en français... ce qui va entraîner plus de contraintes, un surcroît de travail pour les enseignants.

 

"Les syndicats évoquent les risques psycho-sociaux inévitables qui découlent des réformes en elles-mêmes, des méthodes employées et du rythme choisi pour imposer à marche forcée une transformation structurelle du lycée et de l’organisation des examens tout au long des deux années de Première et de Terminale.


La préparation de la rentrée 2019 provoque d’ores et déjà dans les lycées et les rectorats nombre de tensions. 
L’employeur est donc prévenu officiellement des risques qu’il fait courir à ses personnels.


La nouvelle organisation des enseignements liée aux réformes du lycée et du baccalauréat impacte en effet considérablement les conditions d’exercice des personnels, dans un contexte de remodelage à la hussarde, par le gouvernement, de toute l’organisation du travail dans l’Education nationale."

 

De fait, on assiste avec cette réforme à une transformation radicale du lycée...

Les élèves eux-mêmes ont du mal à s'y retrouver. Certains enseignements de spécialité mélangent plusieurs matières de façon peu lisible.

Comment choisir ? 

 

Les enseignants et les élèves vont encore essuyer les plâtres d'une réforme improvisée, mise en place à la hâte, sans véritable concertation...

 

 

 

 

 

Une rentrée scolaire à hauts risques...
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26 août 2019 1 26 /08 /août /2019 09:24
Toute la beauté du monde...

 

 


Le monde qui nous entoure est étonnant et merveilleux : on n'a jamais fini d'en découvrir toutes les beautés... La nature nous apporte une harmonie de couleurs, des formes si diverses : regardons l'infinie variété des fruits, des fleurs, des arbres, des plantes, de leurs senteurs.

 

La terre sur laquelle nous vivons apparaît comme un pays de cocagne où les splendeurs sont multiples : paysages, ciels lumineux ou plus sombres chargés de nuages, soleil, pluies rafraîchissantes, souffles des vents tempétueux ou plus doux. Les saisons nous offrent aussi leur diversité : l'automne aux couleurs flamboyantes, l'hiver et ses froids intenses, le printemps au renouveau tant attendu, l'été et ses charmes pleins de rêves et de douceurs.

 

L'être humain est tellement habitué à ces merveilles qu'il ne les voit plus et ne les apprécie plus, faute d'y prêter attention.

 

Beaucoup de gens vivent en ville, certes, mais même là, la beauté est présente : le ciel aux aspects nuancés, les arbres, les jardins, les oiseaux et le monde de la ville lui même, quand il n'est pas trop saturé de voitures et de pollution : l'architecture des bâtiments, les balcons fleuris, les monuments, les lumières de la ville...

 

Un simple fruit, une fleur devraient être objets d'émerveillement : les châtaignes mordorées de l'hiver aux coques brunes, aux bogues épineuses qui éclatent en tombant, les fruits de l'été aux saveurs rafraîchissantes et apaisantes, les roses aux parfums somptueux, les lilas en fleurs, les lavandes parfumées, la menthe des jardins si odorante, les feuilles d'automne aux tons d'orange brûlé de brun, aux formes dentelées, aux couleurs si lumineuses !

 

Les nuages dans le ciel aux formes étonnantes, chaloupes, navires en partance, lourdes cotonnades qui s'effilochent dans l'air, soies délicates qui s'évanouissent sur la voûte céleste...

Les couchers de soleil aux teintes triomphantes de rouge, de rose, d'éclairs lumineux, l'astre qui pâlit dans le soir apaisé, les aurores rougeoyantes, les journées d'été qui s'alanguissent...

 

Le monde nous présente tant de spectacles incroyables : une fleur, simple bouton d'abord qui s'épanouit, un arbre aux fleurs éblouissantes de blancheur, cerisier, pécher en robes de soirée... Que dire de toutes les espèces animales aux tailles, aux formes, aux couleurs si variées ? Comment dire aussi toutes les splendeurs des mers et des océans ? Poissons, coquillages dont on ne finirait pas d'énumérer les noms... Infinie variété des vagues et du monde de la mer !

 

La terre si belle nous échappe, car nous ne la voyons plus, nous ne l'admirons plus, nous la croyons éternelle mais il faut la préserver, l'aimer, la contempler, et ne pas croire que tous ces émerveillements sont un dû, que toute la beauté du monde nous est donnée pour être dilapidée et détruite. Veillons à ne pas abîmer notre mère nature, veillons à la respecter, à ne pas gaspiller toutes les ressources qui nous sont données.

Veillons aussi à lui prodiguer nos admirations, à ne pas oublier sa présence dans notre vie de tous les jours...

"Quand oserons-nous déclarer notre amour à la Nature pour elle-même, sa beauté et non pour les fruits qu'elle nous procure ? Quand serons-nous prêts à sanctuariser, à la surface de la planète, d'immenses cathédrales sauvages, préservées de l'homme ?" Sylvain Tesson.

 

 

 

 

 

Toute la beauté du monde...
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25 août 2019 7 25 /08 /août /2019 14:01
Un troupeau de nuages...

 

 

 

Dans le lointain, une horde de nuages, un troupeau compact se profile en ombres grises au dessus des nuées aux teintes de roses pâles...

 

Les nuages semblent avancer lentement, en procession sur l'horizon...

 

Les nuages  suivent une ligne droite et se déplacent dans un paysage doré et lumineux...

 

Des vapeurs étincelantes et roses auréolent la scène...

 

Somptueux cortège d'un soir d'été !

 

Somptueux spectacle qui s'illumine des lueurs nuancées du couchant !

 

Peu à peu, les ombres envahissent la terre... les cyprès, les pins, les cèdres hérissent leurs silhouettes sur l'horizon...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Photos : rosemar

Un troupeau de nuages...
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